History of the Rise of the Huguenots. Baird Henry Martyn

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most obscene dances. It was two churchmen that are said to have provided the boy-king with this infamous diversion – Cardinal Charles of Bourbon and Cardinal Louis of Guise. Recordon, 143.

277

"Il est notoire qu'au temps du colloque de Poissy la doctrine evangelique y fut proposée en liberté; ce qui causa que plusieurs, tans grands que petits, prindrent goust à icelle. Mais, tout ainsi qu'un feu de paille fait grand' flamme, et puis s'esteint incontinent d'autant que la matière défaut, après que ce qu'ils avoient receu comme une nouveauté se fut un peu envieilly en leur cœur, les affections s'amortirent, et la pluspart retourna à l'ancienne cabale de la cour, qui est bien plus propre pour faire rire et piaffer, et pour s'enrichir." Mém. de Franç. de la Noue, c. ii. (Ed. Mich, et Pouj., 591).

278

"Quelque chose qu'il sût dire avec blasphêmes horribles – moyen ordinaire à telles gens pour prouver leur religion." Hist. ecclés. des églises réformées, ii. 458. To stuff leaves torn from French Bibles into the mouths or wounds of dying or dead Huguenots, as we have seen, was a diversion not unknown to their opponents. Of course, there is nothing astonishing in the circumstance that the invocation of Calvin's liturgy – "Notre aide soit au nom de Dieu qui a fait le ciel et la terre" – should have been a favorite formula for the beginning of a game of chance, or that the doxology – "Louange à Dieu de tous ses biens" – ["Praise God from whom all blessings flow."] – should have been esteemed a fitting ejaculation for the winner. Ibid., ii. 310, 431.

279

"'Double mort Dieu' a vaincu 'Certes'; entendant par ce dernier mot ceux de la religion qui condamnent ces juremens et blasphêmes." Hist. ecclés. des égl. réf., ii. 507.

280

De Thou, iii. (liv. xxxv.) 409.

281

Declaration dated Châtillon-sur-Loing, May 5, 1563. Mém. de Condé, iv. 339-349; and Jean de Serres, iii. 15-29.

282

Martin, Hist. de France, x. 164.

283

De Thou, iii. (liv. xxxv.), 415, 416. Catharine had been the involuntary instrument of renewing the old friendship between the constable and his nephews, when, on Guise's death, she conferred the office of grand master upon his young son, instead of restoring it to Anne de Montmorency, to whom the dignity had formerly belonged. Three months later (Aug. 30, 1563) Condé drew up another paper, assuming the entire responsibility for all the acts of the Châtillon brothers during the war: "Acte par lequel M. le prince de Condé déclare que tout ce que M. l'amiral de Coligny et M. D'Andelot son frère ont fait pendant les troubles, ils ont fait à sa réquisition et par ses ordres." Mém. de Condé, iv. 651.

284

See Martin, x. 174, 175.

285

Davila, bk. iii. 92, and D'Aubigné, liv. iv., c. iii. (i. 201), both of whom mistake the place of the occurrence, supposing it to have been Paris.

286

Copie de la requeste présentée au Roy très-chrestien par ceulx de la mayson de Guyse, etc. Mém. de Condé, iv. 667, 668.

287

Ibid., iv. 668.

288

"C'est un vray moyen pour destruire et gaster en une heure tout le fondement de ce qu'elle a prins grand' peine de bastir depuis six mois." Mémoire présenté à la Reine-mère, pour empêcher que la maison de Guyse n'allât demander justice au parlement de Paris, de l'assassinat de François duc de Guise. Mém. de Condé, iv. 493-495.

289

Arrêt du conseil du Roy, par lequel il évoque à sa personne le procès meu entre les maisons de Guyse et de Chastillon, etc. Mém. de Condé, iv. 495.

290

"Ne parlez encore à personne," writes Catharine to M. de Gonnor (March 12, 1563), "des conditions, car j'ay toûjours peur qu'ils ne nous trompent; encore que le Prince de Condé leur a déclaré que s'ils n'acceptent ces conditions et s'ils ne veulent la paix, qu'il s'en viendra avec le Roy mon fils, et se déclarera leur ennemy, chose que je trouve très-bonne." Le Laboureur, ii. 241.

291

Not September 15th, as Davila states, nor September 24th, as D'Aubigné seems to assert; but his narrative is confused.

292

The two documents – address and edict – in Mém. de Condé, iv. 574-581.

293

Floquet, Hist. du parlement de Normandie, ii. 584. The entire scene is very vividly portrayed, ibid., ii. 561-586. Bruslart, Mém. de Condé, i. 132; De Thou, iii. (liv. xxxv.) 421-424; Jean de Serres, iii. 32; Mém. de Castelnau, liv. v., c. iv., etc.; Agrippa d'Aubigné, Hist. univ., liv. iv., c. iii. (i. 200-202); Davila, bk. iii. 90.

294

"Les Parisiens furent fort pressés qu'ils eussent à mettres les armes bas," says the metropolitan curate, Jean de la Fosse, under date of May, 1563, "mais ils n'en volurent jamais rien faire." Mém. d'un curé ligueur, 63, 64.

295

A town on the left bank of the Seine, four leagues beyond Meulan.

296

Mém. de Condé (Bruslart), Sept., 1563, i. 133-135.

297

Ibid., ubi supra. "Ces parolles là sont venues de la boutique de Monsieur le Chancellier et non du Roy."

298

Ibid., i. 136. Even after Charles's lecture and a still more intemperate address of Montluc, Bishop of Valence, when parliament came to a vote there was a tie. To please Catharine, whose entire authority was at stake, the royal council of state gave the extraordinary command that the minute of this vote should be erased from the records of parliament, and the edict instantly registered. This last was forthwith done. De Thou, iii. (liv. xxxv.) 426, 427. Bruslart (ubi supra, i. 136) denies that the erasure was actually made as Charles had commanded.

299

De Thou, iii. (liv. xxxv.) 441, etc.

300

Letter of Card. de la Bourdaisière, Rome, Oct. 23, 1563, in which sentence is said to have been pronounced, the day before, on the Archbishop of Aix, and the bishops of Uzès, Valence, Oléron, Lescar, Chartres, and Troyes. Le Laboureur, i. 863, 864.

301

Monitorium et citatio officii sanctæ Inquisitionis contra illustrissimam et serenissimam dominam Joannam Albretiam, reginam Navarræ, Mém. de Condé, iv. 669-679; and Vauvilliers, Histoire de Jeanne d'Albret, iii. Pièces justif., 221-240. It is dated Tuesday, September 28, 1563. De Thou, iii. (liv. xxxv.) 442. The Card. de la Bourdaisière (ubi supra) merely says: "Tout le monde dit à Rome, que la Reine de Navarre fut aussi privée audit Consistoire, mais il n'en est rien, bien est-elle citée." Mém. de Castelnau, liv. v., c. ix.

302

It needed no very extraordinary penetration to read "Philip" under the words of the monitorium: "Ita ut in casu contraventionis (quod Deus avertat) et contumaciæ, regnum, principatus, ac alia cujuscunque status et dominia hujuscemodi, dentur et dari possint cuilibet illa occupanti, vel illi aut illis quibus Sanctitati suæ et successoribus suis dare et concedere magis placuerit."

303

Summary of the protest in De Thou, iii. (liv. xxxv.) 441-447; and Vauvilliers, ii. 7-17; in full in Mém. de Condé, iv. 680-684. "Quant au fait de la Reine de Navarre, qui est celuy qui importe le plus, ledit sieur d'Oysel aura charge de luy faire bien entendre," says Catharine in a long letter to Bishop Bochetel (ubi infra), "qu'il n'a nulle autorité et jurisdiction sur ceux qui portent titre de Roy ou de Reine, et que ce n'est à luy de donner leur estats et royaumes en proye au premier conquerant."

304

See the interesting letter of Catharine to Bochetel, Bishop of Rennes, French ambassador at Vienna, Dec. 13, 1563, in which the papal assumption is stigmatized as dangerous to the peace of Christendom. "De nostre part nous sommes délibéréz de ne le permettre ny consentir," she says, and she is persuaded that neither Ferdinand nor Maximilian will consent. Le Laboureur, i. 783.

305

De Thou, iii. (liv. xxxv.) 447. Castelnau (liv. v., c. ix.) gives a wrong impression by his assertion that "the Pope could never be induced to reverse the sentence against the Queen of Navarre."

306

Le


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