Histoire littéraire d'Italie (1. Pierre Loius Ginguené
II, liv. 7.
122
Voy. le poëme de S. Prosper,
123
Voy. l'Histoire littér. de la France, t. IV, Etat des lettres au huitième siècle.
124
Voy. Tirab.,
125
En 774.
126
C. 25.
127
Voy. les preuves que le P. Mabillon donne de cette date, dans ses Notes sur la Vie d'Alcuin, insérées dans ses
128
Hist. litt. de la France,
129
Abr. chr. de l'Hist. de Fr., année 789.
130
131
Hist. Litt. de la France,
Charlemagne voulut aussi qu'en France on sût mieux la musique, et que l'on chantât plus humainement qu'on ne faisait alors, entreprise toujours difficile et qui, comme on voit, l'était il y a long-temps. On sait qu'il s'éleva une grande dispute à Rome, en sa présence, entre ses chantres et les chantres romains. Il eut assez de goût et de discernement pour prononcer en faveur de ces derniers: il en amena deux en France pour y enseigner un chant moins barbare et surtout l'art d'organiser, c'est-à-dire, de pratiquer à la fin des phrases du plain-chant, quelques chétifs accords de tierce, car c'était à cela que se bornait alors toute la science de l'harmonie même au-delà des Alpes, et elle ne s'était pas encore étendue si loin en deçà 132.
132
Tirab., t. III, p. 131 et suiv.
133
Eginhard dit qu'il l'était quand Charlemagne le prit pour maître:
134
135
Epist. XV,
136
137
138
En 799,
139
Tirab.,
140
141
142
143
144
145
En 776. Paulin avait alors 46 ans. Les savants auteurs de l'Hist. Littér. de la France l'ont fait naître en Austrasie (t. IV de leur hist.) Ughelli (
146
L'église romaine chante cet hymne pendant la procession, le jour des Rameaux.
147
148
Il serait plus exact de dire, s'ils les eût connus.
149
150
L'auteur italien paraîtra sans doute exagéré dans cette assertion; mais elle est autorisée par une lettre de Loup de Ferrières au pape Benoît III, par laquelle ce savant abbé lui demandait des livres, et entre autres ceux du l'orateur de Cicéron, les douze livres des institutions de Quintilien, dont on ne trouvait, disait il, en France que des copies imparfaites, et enfin le commentaire de Donat sur les comédies de Térence. (Voy.
151
Tom. IV, Disc. sur l'état des Lettres au huitième siècle.
152
Loc. cit.
153
Hist. Litt. de la France,
154
Dans le grand recueil de Muratori,
155
Muratori les a insérées dans sa collection;
156
Tom. I, part. II.
157
Voy. là-dessus Mazzuchelli,
158
En 757.
159
Tirab., t. III, p. 80.
160
On en voit la liste, à remonter jusqu'au sixième siècle, dans la Préface du Catalogue imprimé de la Bibliothèque du Vatican.
161
Voyez-en les titres dans les
162
Muratori l'a inséré dans sa grande collection.
163
Voyez toutes les pièces de ce procès, placées par Muratori à la tête du
164
Crescentius, assiégé dans le môle d'Adrien par Othon III, ne capitula que sur la
165
C'était le temps où une Théodora et sa fille Marosie, maîtresses dans Rome, faisaient papes, l'une son amant, l'autre son fils (Jean X et Jean XI), et entouraient le saint-siége de tous les genres de scandales; où Jean XII mourait d'un coup reçu à la