Historical Characters. Henry Bulwer
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See
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“Nous avons été touché de joie quand nous avons appris l’ardent désir que vous avez de vous réconcilier avec nous et avec l’Eglise catholique. Dilatant donc à votre égard les entrailles de notre charité paternelle, nous vous dégageons par la plénitude de notre puissance du lien de toutes les excommunications. Nous vous imposons par suite de votre reconciliation avec nous et avec l’Eglise, des distributions d’aumônes pour le soulagement surtout des pauvres de l’église d’Autun que vous avez gouvernée. Nous vous accordons le pouvoir de porter l’habit séculier, et de gérer toutes les affaires civiles, soit qu’il vous plaise de demeurer dans la charge que vous exercez maintenant, soit que vous passiez à d’autres auxquelles votre gouvernement pourrait vous appeler.”
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Fouché, not then in office, was also consulted.
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It is even remarked, that a few days previous, the Duc Dalberg had been informed that there was no jealousy of the
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There were two “
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“Bonaparte seul, mal informé par ce que la police avait de plus vil, et n’écoutant que sa fureur, se porta à cet excès sans consulter. Il fit enlever le prince avec l’intention de le tuer. Il est connu que sous votre ministère vous n’avez cessé de modérer les passions de Bonaparte.” —
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The houses of the upper classes had oaken floors, called
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“Was re-making the bed of the Bourbons.”
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The term applied to persons detained in France at the rupture of the peace of Amiens.
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With regard to his habits in this respect, it may not be amiss to refer to the American correspondence:
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A note written by M. Izquierdo, Spanish ambassador to the Court of France, and dated 24th of March, 1808, is exceedingly curious respecting these particulars.
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“Le prince était instruit dans le plus grand détail de ce qui s’était passé à Bayonne, et il m’en parut indigné: ‘Les victoires,’ me disait-il, ‘ne suffisent pas pour effacer de pareils traits, parce qu’il y a là je ne sais quoi de vil; de la tromperie, de la tricherie! Je ne peux pas dire ce qui en arrivera, mais vous verrez que cela ne lui sera pardonné par personne.’ Le duc Decrès m’a plus d’une fois assuré que l’Empereur avait reproché en sa présence à M. de Talleyrand de lui avoir conseillé tout ce qui s’était fait à Bayonne, sans que celui-ci eût cherché à s’en défendre. Cela m’a toujours étonné. D’abord, il suffit de connaître un peu M. de Talleyrand pour être bien sûr que, si au fond il a été d’avis de déposséder du trône d’Espagne les princes de la maison de Bourbon, il n’a certainement pas indiqué les moyens qu’on a employés. Ensuite, lorsqu’il m’en a parlé, c’était avec une sorte de colère qu’il n’éprouve qu’en présence des événements qui le remuent fortement.”
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“Il me fallait 800,000 hommes, et je les ai.” —
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“Une mauvaise paix ne peut nous devenir aussi funeste que la continuation d’une guerre qui ne peut plus nous être favorable.” —
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“‘Jamais,’ dit-il au dignitaire qui le lui insinuait, ‘jamais je ne donnerai la main à la perte d’un homme qui m’a longtemps servi.’” —
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M. Thiers gives the account of such a scene as we have just described, but fixes it in 1809; nothing is omitted, not even the position of M. de Talleyrand and his hat; and in this account M. Thiers makes Napoleon accuse Talleyrand of the murder of the Duc d’Enghien.
I cannot but believe that M. Thiers’s authority has been incorrect. Count Molé could not be mistaken as to dates and facts, for he was present at the scene I have related, and stated to me all the details, as I have given them, without touching on the Duc d’Enghien, which he certainly would have spoken of had Napoleon himself done so. The Emperor’s reproaches were, according to Count Molé, entirely confined to what he considered were M. de Talleyrand’s intrigues at that particular time – intrigues which were not, however, then further advanced than in clearing away the obstacles which might interfere with his defection, if Napoleon was ultimately defeated.
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“Eh bien! voilà donc la fin de tout ceci. N’est-ce pas aussi votre opinion? Ma foi! c’est perdre une partie à beau jeu. Voyez un peu où mène la sottise de quelques ignorants qui exercent avec persévérance une influence de chaque jour. Pardieu! l’Empereur est bien à plaindre, et on ne le plaindra pas, parce que son obstination à garder son entourage n’a pas de motif raisonnable; ce n’est que de la faiblesse qui ne se comprend pas dans un homme tel que lui. Voyez, monsieur, quelle chute dans l’histoire! Donner son nom à des aventures au lieu de le donner à son siècle! Quand je pense à cela je ne puis m’empêcher d’en gémir. Maintenant quel parti prendre? Il ne convient pas à tout le monde de se laisser engloutir sous les ruines de cet édifice. Allons, nous verrons ce qui arrivera!
“L’Empereur, au lieu de me dire des injures, aurait mieux fait de juger ceux qui lui inspiraient des préventions; il aurait vu que des amis comme ceux-là sont plus à craindre que des ennemis. Que dirait-il d’un autre s’il s’était laissé mettre dans cet état?” —