Les musiciens et la musique. Hallays André

Les musiciens et la musique - Hallays André


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des Débats, 26 mars 1859.

11

Livre du Centenaire du Journal des Débats.– Étude de M. Ernest Reyer sur la critique musicale.

12

Journal des Débats, 27 octobre 1849.

13

Journal des Débats, 25 janvier 1835.

14

Quand on a lu tout ce que Berlioz a écrit contre les «arrangeurs», on est abasourdi de l'audace d'un entrepreneur de spectacles qui, ayant travesti en opéra la Damnation de Faust, ne craint pas de protester de son respect pour le génie du musicien.

15

Ces analyses ont été recueillies dans A travers Chants.

16

Journal des Débats, 1er mai 1836.

17

Ibid. 15 novembre 1835.

18

Journal des Débats, 27 septembre 1835.

19

L'Opéra s'apprêtait à représenter les Martyrs du même Donizetti.

20

Journal des Débats, 16 février 1840.

21

Journal des Débats, 2 et 3 janvier 1861.

22

Correspondance p. 249.

23

Journal des Débats, 5 septembre 1839.

24

Journal des Débats, 14 novembre 1848.

25

Ibid. 12 mars 1841.

26

Journal des Débats, 9 décembre 1850.

27

Journal des Débats, 21 novembre 1835 et 15 octobre 1837.

28

Ibid. 16 juillet 1836.

29

Hector Berlioz, sa Vie et son Œuvre, p. 291.

30

Journal des Débats, 10 novembre et 10 décembre 1836.

31

Journal des Débats, 21 février 1854.

32

Ibid. 10 avril 1859.

33

Journal des Débats, 15 décembre 1844.

34

Journal des Débats, 22 avril 1851.

35

Journal des Débats, 7 janvier 1852.

36

Lettre à Humbert Ferrand, 28 avril 1859.

37

Journal des Débats, 26 mars 1859.

38

Journal des Débats, 20 janvier 1846.

39

L'article de Berlioz se trouve dans A travers Chants. La réponse de Wagner, publiée dans les Débats, a été reproduite par M. Georges Servières dans son livre: Wagner jugé en France.

40

Correspondance, pp. 225 à 280, passim.

41

Cette étude sur Berlioz a été écrite par Wagner en 1841. Elle a été traduite par M. Camille Benoît dans Musiciens, Poètes et Philosophes.

42

«J'ai passé ma vie avec ce peuple de demi-dieux; je me figure qu'ils m'ont connu, tant je les connais. Et cela me rappelle une impression de mon enfance qui prouve à quel point ces beaux êtres antiques m'ont tout d'abord fasciné. A l'époque où, par suite de mes études classiques, j'expliquais, sous la direction de mon père, le douzième livre de l'Énéide, ma tête s'enflamma tout à fait pour les personnages de ce chef-d'œuvre: Lavinie, Turnus, Énée Mezence, Lausus, Pallas, Evaudre, Amata, Latinus, Camille, etc., etc.; j'en devins somnambule, et, pour emprunter un vers à Victor Hugo:

Je marchais tout vivant dans mon rêve étoilé.

Un dimanche, on me mena aux vêpres: le chant monotone et triste du psaume: «In exitu Israël» produisit en moi l'effet magnétique qu'il produit encore aujourd'hui et me plongea dans les plus belles rêveries rétrospectives. Je retrouvais mes héros virgiliens, j'entendais le bruit de leurs armes, je voyais courir la belle amazone Camille, j'admirais la pudique rougeur de Lavinie éplorée, et ce pauvre Turnus, et son père Daunus, et sa sœur Juturne; j'entendais retentir les grands palais de Laurente… et un chagrin incommensurable s'empara de moi, je sortis de l'église tout en larmes…» – (Lettre d'Hector Berlioz à la princesse Caroline Sayn, – Wittgenstein, 20 juin 1859).

43

Le mot est de J. – J. Weiss.

44

Quelques lignes de cet article ont été intercalées par Berlioz dans ses Mémoires.

45

Il s'appelait Lachnith.

46

Voir l'introduction, p. XIX.


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