Le Dernier Noël Sur La Terre. Andrea Lepri

Le Dernier Noël Sur La Terre - Andrea Lepri


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la lampe de table pour examiner le doigt et vérifié comme que l’infection avait progressé en quelques seulement vingt-quatre heures. “Dois-je appeler le médecin qu’il peut me donner quelque chose” pensée troublée reprendre le combiné. “Et ce que je dis, je suis allergique à la poussière de l’espace?” Il a dit, puis secoua la tête et de mettre à nouveau le dispositif en place. “Cosmique… poussière, il n’a pas de sens. En plus de cela, je commencé à parler à moi-même, il est des choses à perdre la tête” finit-il tomber lourdement sur le lit d’enfant. Il se coucha et se mit à couvain, puis elle a pris la pleine assurance que ce serait sa troisième nuit consécutive complètement vide.

      Eve et James avaient fini le dîner en silence et se sont installés devant la télé sans regarder vraiment à quoi que ce soit, tout le monde chassait ses pensées en attendant Harry de décider de faire son apparition. Le garçon a montré après quelques bonnes heures, mais contrairement à ce que ses parents s’attendaient passé avant de les ignorer et se dirigea directement dans la cuisine où quelque chose grignoté, débarrassa la table, claquant les plats comme il le faisait quand il était de bonne humeur et a fait le voyage de retour pour revenir à l’étage, un signe clair qu’il était toujours en colère contre sa mère pour la perte du chien. À ce moment-là, Eve a considéré que la soirée était terminée, il est allé mettre la vaisselle sale dans le lave-vaisselle, puis monter à l’étage. James a fait un peu zappant essayant de trouver quelque chose d’intéressant, mais après quelques minutes, il éteint la télé et aussi allé à l’étage. Il était en retard sur l’horaire de sommeil et a jugé que dormir un peu plus que d’habitude ne pouvait lui faire bien. En pensant à, il a conclu que continuer à rester enfermés dans la maison aurait bien fait de lui-même ou à son fils, alors il a décidé que le lendemain allait avec lui au camp scout puis il aller travailler, pour tenter de revenir un sens de normalité dans leur vie. Eve est sorti de la salle de bains que James était déjà presque endormi, quand elle se coucha à côté de lui, il se sentait envahir la moitié du lit et est allé comme d’habitude au bord, afin d’éviter les malentendus. Mais elle est allée plus loin et a mis en garde le contact avec son corps trouver plus chaud que d’habitude, il tendit la main pour le repousser, mais elle saisit sa main et a grandi sur la poitrine nue. James leva les yeux de surprise, elle se tourna et tira vers lui. Ce fut une chose éphémère et silencieuse dans l’obscurité que jamais, avait à peine le temps de compter jusqu’à dix sans échanger un baiser ou une caresse, ou un seul mot. Immédiatement après Eve est endormi et il resta éveillé quelques jours pour demander pourquoi les bizarreries semblaient ne pas vouloir finir. Avant qu’elle avait proposé des vacances et ils avaient fait l’amour et qui pourrait être le prélude d’un nouveau départ. Mais il n’a pas osé y croire et méditons profondément découvert que, à ce moment-là, il ne savait pas encore plus si c’était ce qu’il voulait vraiment.

      En attendant la rencontre désagréable qui l’attendait, le président avait commencé le jeu de détente habituelle d’échecs contre votre PC et était peu à peu tombé dans un monde feutré de réflexions. “Benjamin espoir… Parfois, la vie est vraiment amusant de jouer avec les noms des personnes. Comment un homme avec un profil un peu comme celle d’un vautour et un teint de peau cadavérique porter un nom similaire? Sans oublier que les rares fois où il a demandé à me rencontrer était de se référer uniquement mauvaises nouvelles… comment un homme peut donc qui ressemble à un fossoyeur appelé Benjamin Hope?” Il se demandait, quand l’interphone snooze fit sursauter tout à coup. Il a vérifié l’heure sur la barre des applications PC et renifla sa démission, il était temps pour l’événement tant redouté.

      “Les gens qui attendaient pour arriver”, le fait informé le secrétaire par l’interphone.

      “Merci Elisabeth. Faites-les asseoir poliment dans la salle, je les recevoir en deux minutes”, a il dit.

      “Comme vous voulez, Monsieur le Président”.

      L’homme qu’il a sauvé le jeu et fermé toutes les applications, finalement dégagé le bureau et posé sur deux sur l’écran des fichiers volumineux juste pour faire une bonne impression. Il redressait sa veste et se dirigea d’aller à accueillir ses hôtes. Marcher la courte distance qui le séparait de la porte a passé le drapeau des États-Unis, disposé entre un philodendron et pachira, et arrêté pour regarder perplexe. Comme un éclair remorque revécu le chemin, à partir de si loin, il avait mené jusqu’à et pendant un moment il se demandait si tous les efforts et les sacrifices consentis pour se trouver devant le drapeau à ce moment-là ont été vraiment été utile. Conscient du fait que tergiverser plus ne serait étendu son tourment, a tremblé et il a été décidé d’aller ouvrir.

      Helen était couché sur une table métallique et deux voix dans sa tête ne cessait de répéter qu’il avait rien à craindre. Elle ne pouvait pas se rappeler comment il a fini là-bas, mais il connaissait la sensation de sa peau nue contre l’acier froid était horrible et qu’il voulait échapper, mais son corps n’a pas répondu à ses ordres et elle se sentait comme un morceau de repos de fer sur une surface magnétique. Il ouvrit les yeux et regarda autour de lui, mais ce qu’elle a vu lui a donné envie de ne jamais l’avoir fait. Il était dans un laboratoire, des machines étranges ont été suspendues au plafond à côté d’une grande lampe puissante aveuglé et quelques tentacules métalliques étaient prothèse vers elle d’un air menaçant. instruments chirurgicaux étincelantes ont été classés par ordre de grandeur sur l’étagère supérieure d’un chariot placé à sa gauche et sur une étagère métallique peu plus en arrière était une collection de pots en verre contenant des fœtus humains. Helen a soudainement senti totalement perdu et éprouvé un sentiment jamais ressenti auparavant, une terreur complètement résigné. L’un des deux personnages silencieux en blouse blanche maniait un instrument et se projetait vers son ventre, il a continué à les répéter mentalement de rester calme. Elle se sentait une sorte de chatouiller et quand il a finalement réussi à comprendre ce qu’ils les signifiait encore une fois tenté de se rebeller, mais ne pouvait pas, tout semblait étouffé et elle se sentait impuissante, la seule chose dont il était capable pleurais. Il ferma les yeux pour ne pas voir ce qu’ils faisaient et a essayé de rassembler toute son énergie, il a essayé de crier plus fort qu’il pouvait se tortillant, et sa voix elle se réveilla comme elle est tombée du lit. Pas le temps de toucher le sol et avait déjà pris, a allumé la lumière et se précipita vers la salle de bain parce que si était presque se mouiller avec la peur. En sortant de la salle de bain, il est arrêté devant le miroir placé dans l’anti salle de bains et lavé son visage avec les mains tremblantes, en continuant à regarder autour de l’hallucination. Bien qu’il lui était maintenant éveillé pendant quelques minutes ces terribles sentiments étaient restés collés à la peau comme une seconde, presque comme si elles étaient le résultat de son esprit, mais plutôt insisté sur les souvenirs de l’expérience de la vie réelle. Au lieu de cela, il a répété de se calmer, il était sacrément son cauchemar récurrent. Il savait que dans ce rêve il y avait Harry, elle n’a jamais pu le voir, mais elle était sûre qu’il était là quelque part. Tout à coup, il se rendit compte que le hasard avait vraiment vécu ce genre de chatouillement ennuyeux l’aine: le cauchemar avait refait surface avec la mémoire quand, des années auparavant, avait cru être enceinte. Il a secoué pendant quelques jours, le rêve de devenir une mère, jusqu’à ce que le Dr Parker, juste le troisième examen, elle avait informé que dans son sein il n’y avait pas œuf fécondé, et avait rejeté l’événement comme simplement une grossesse hystérique brutalement hors toutes les émotions qui avaient fleuri en elle. La femme se mit à pleurer quand elle se calma assis à son bureau et a pris un stylo et du papier avec l’intention de trouver un moyen rationnel d’aller avec l’esprit. Il repensa aux paroles de Larry et Coroner notes griffonner et plus il y pensait plus il semblait évident que le produit chimique avait été confondu laide. Le pire de tout était sans doute qu’entre eux il y avait au moins une et meurtrière, sûrement, il était l’auteur de l’appelant anonyme. Les visages de ses compatriotes le passaient devant mes yeux, un par un, en une seule file, elle a tenté en vain d’imaginer chacun d’eux sous la forme d’un maniaque


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