Le Secret De L'Esprit Et Du Corps. Gianluca Pistore

Le Secret De L'Esprit Et Du Corps - Gianluca Pistore


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suis Santana, Carlos Santana. J’aurais un besoin urgent de parler avec vous. Quand puis-je vous rencontrer?"

      "Beh, si vous n’avez rien de mieux à faire vous pouvez venir me rencontrer même maintenant. Les guerriers du fer ne se reposent jamais!" je disais avec véhémence.

      C’était comme ça que je connaissais ce garçon bizarre venu des favelas.

      Il pesait environ 60 kg trempé ou pour un hauteur d’un mètre et quatre-vingt-cinq.

      Il était le classique ectomorphe pur. Mince, au squelette gracile e avec une musculation sous développée. Il avait les épaules étroites et un torse long et plat. Son poids et le périmètre de la poitrine semblaient être très insuffisants par rapport à la hauteur. En outre les membres inférieurs et supérieurs avaient la même longueur.

      Il semblait sous-alimenté et apeuré par la vie.

      "Donc, cher Carlos, comment puis-je t’aider?"

      "Ils m’ont dit que vous êtes capable de réaliser miracles avec les personnes..."

      Je m’arrêtais tout de suite "Garçon, fais-toi attention avec les mots. Dieux fait les miracles. J’aide simplement à faire sortir le papillon de sonver. Michel-Ange sculptait la pierre pour ses œuvres, mais les chefs-d’œuvre étaient déjà à l’intérieur de la pierre brute. Il arrondit seulement les coins. Voilà, c’est ce que je fais."

      Le garçon, hésitant, me regarda avec les yeux écarquillés et il ajouta "Je me fiche de cela! Je dois absolument vaincre la “Compétition Internationale Des Deux Amériques”

      "Arrête garçon, une chose après l’autre. Je viens de te dire que je ne fais pas de miracles, tu veux vaincre la compétition des haltères américaine la plus importante dans moins d’une année et en commençant sans aucune formation de base ?" Quel type exhilarant. Peut-être qu’il ne s’était jamais vu dans le miroir, je ne lui aurai néanmoins permis de s’inscrire au tournoide bras de fer du cartier.

      "Vous ne comprenez pas. J’en ai besoin. Voulez-vous m’aider ou non?" il s’empressait de dire, une rage dans les yeux que je n’avais jamais vue d’abord.

      Le premier instant de confusion s’évanouit peu après: “Garçon, tu n’ arriverais jamais, laisse tomber. Si tu veux faire du sport je peux t’aider mais enlève de ta tête ces galères stupides ”.

      Il me regarda avec les larmes aux yeux: “vous êtes un bon à rien! Vous ne savez rien de sport! Vous vous limitez à regarder comme je suis maintenant, vous ne réussissez à m’imaginer fort et vous ne réussissez néanmoins à voir,au-delàde ce mon corps,la rage, la motivationet la douleur qui sont dans mon intérieur....” Il faisait le signe pour dire quelque chose d’autre, mais il se tourna et il se démarraitavec un pas décidévers la sortie.

      Je l’appelais “Garçon! Attends un moment. Quelle serait ce grande motivation? Donc, à quoi bon de vaincre la compétition des haltères américaine la plus importante, veux-tu par pur hasarddémontrer quelque chose à ta fiancée?”

      "Il ne m’importe rien de vaincre. J’ai besoin du prix de 80 mille dollars en jeu pour sauver mon frère le plus petit de la rue! Mon frère et moi nous sommes nées dans une famille extrêmement pauvre, de même que beaucoup de personnes dans les favelas de Rio. Dans notre favela il y a incursions dela police, le bataillons de la mort, presque tous les saints jours. Je cherche à garder mon frère le plus petit loin des regards de la bande, mais il est difficile. Notre père est mort dans une rafle de la police, tué par un coup vagant direct à un narcotrafiquant qui vivait cinquante mètres après nous. Notre mère, après sa mort, est tombée dans un état de grave dépression et elle avait de la peine à maintenir toute la famille.Les missionnaires de Saint François nous aident, mais ce n’0est pas bon. Je cherche à arrondir en travaillant avec un menuiser ami de mon père, mais le salaire ne me permet néanmoins de m’inscrire à la salle de gym! Mon frère il y a peu de mois qui fait partie d’une bande de dealers contrôlés par Ramires, un de plus grands et impitoyables narcotrafiquantsde notrefavela." Tandis qu’il parlait les yeux lui devenaient brillants, transparents, et je comprenais ce que son cœur éprouvait. La sienne était l’incarnation d’une tristesse d’une histoire pareille à beaucoup d’autres. Les poignets de plus en plus serrés sur ses jambes "Je cherche à lui expliquer qu’en continuant de cette façon il fera mal seulement à soi-même et à nous qui l’aimions, mais il ignore mes suggestions. J’ai cherché à parler avec ceux de sa bande mais j’ai reçu d’abord des avertissements de ne pas fouinerand, ensuite, un nez cassé!" il ferma ses yeux en se souvenant ces expériences désagréables. "Je veux vaincre pour lui et pour notre mère... Je veux les porter loin d’ici! Et vous êtes le seul qui puisse me faire atteindre cet objectif et vous êtes le seul qui ne s’est jamais plié aux abuses etquelesnarcos ..."respectent.

      Il me semblait différent de brutes habituels qui venaient à la salle de gym. "Garçon, la vie n’est pas facile pour personne. Tu dois savoir que Je serai moi-même à t’entrainer et que tu cracherasd’autre sang. Ils seront les 10 mois les plus difficiles de ta vie. Ta mère t’a donné la vie, je te la reprogrammerais. Je transforme des morveux en vrais hommes, indépendamment de l’âge. Tu deviendras un homme, mais d’abord tu devras retourner enfant, pleurer, demander de la pitiéet personne t’aidera. Tu seras en lutte avec toi même avant d’être prêt à combattre avec le monde. Il n’y aura personne à te soulever de terre. Tu devras le faire tout seul. Tu devras réagir et apprendre à te resoulever sur tes jambes. Je t’apprendrai que dans la vie il ne faut jamais se rendre. Tu ne dois jamais baisser la garde, jamais ne te rendre, jamais ne te ramollir. Comprends-tu, ninos? Tu es capable de résister à tout cela?"

      "Commençons!" Répondit hésitant Carlos.

      "Très bien, viens à la salle de gym demain matin prêt, avant d’aller au travail, ici, dans mon arène et nous parlerons à propos de ce qu’il faut faire.Il est tout pour ce moment."

      Toutefois, peu avant qu’il sortît de la salle de gym, je l’arrêtais. "Dans une semaine tu aurais un contact avec une personne spéciale qui pourra te donner un aide important. Il est un entraineur de l’esprit."

      "Est-il un psychologue?" ajouta tout de suite Carlos avec une attitude dédaigneuse.

      "Non, c’est pire. Pour le moment vas chez toi te reposer. Nous nous verrons demain."

      Je le verraisà travers les portes vitréesde la salle de gym avec les épaules courbées, il semblait sans poitrine. Tête baissée. “Il y aura beaucoup de travail à faire ” je pensais. Le premier qui aurait dû croire de pouvoir y réussir devrait être justement lui-même.

      2

      Le jour après Carlos arriva ponctuel à la salle de gym. Il vêtait une veste de sport, chaussures de gym et iltrainaitune grosse bourse.

      "Pour l’amour de Dieu, fiston, qu’est-ce qu’il y a dans ce grande bourse?" Je lui disais.

      "Beh, j’ai pris tout l’argent que j’avais mis à part et je l’ai dépensé pour l’habillement et pour cela...c’est le dernier produit en fait de supplémentation, la ceinture de contention pour les poids, quelque livre que j’ai porté pour vous le faire voir et les vêtements


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