Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie. Froissart Jean

Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie - Froissart Jean


Скачать книгу
de Froissart dans

1

Buchon l'a publié d'après les notes de Dacier, Chroniques, éd. du Panthéon, t. III, p. 376 à 394.

2

Voyez p. 233 de ce volume. Quand on ne trouvera dans les notes que l'indication de la page, cette indication se rapporte toujours au tome I de la présente édition.

3

Ce passage manque dans le célèbre manuscrit de Breslau et dans les manuscrits de la même famille désignés A 23 à 29 dans nos variantes, parce que le texte du premier livre a été abrégé dans ces manuscrits.

4

Les manuscrits de la révision ne deviennent semblables aux autres manuscrits de la rédaction ordinaire qu'à partir du § 11, depuis ces mots: Si singlèrent par mer. Voyez p. 26.

5

Cette mention se trouve au fo 20 du ms. d'Amiens qui se compose de 208 folios et au fo 42 du ms. de Valenciennes qui compte 123 folios.

6

P. 349.

7

Belgique, prov. Hainaut, arr. Thuin, cant. Binche, à 13 kil. de Mons.

8

La cour de Jeanne et de Wenceslas, par M. Pinchart, p. 68.

9

P. 7 et 209 à 211.

10

P. 209.

11

Voyez p. 210 et cf. la note qui se rapporte à ce passage dans le sommaire du prologue de la première rédaction.

12

Chroniques de Froissart publiées par Buchon, éd. du Panthéon, t. III, p. 333, col. 2.

13

Froissart, Étude littéraire sur le quatorzième siècle, par M. Kervyn de Lettenhove, tome Ier, p. 52 et 53. Bruxelles, 1857, 2 vol. in-12.

14

Nouvelles recherches sur la vie de Froissart et sur les dates de la composition de ses Chroniques, par M. P. Paris, p. 14. Paris, 1860.

15

Le texte de cette dernière leçon est emprunté au ms. de notre Bibliothèque impériale coté 2655, fo 1 vo.

16

Les derniers mots sont dans le ms. 2655 et le ms. 131 de sir Thomas Phillipps: esperons encore à nuit, dans les mss. 2641 et 2642: esperons encore. Cf. Chroniques dans Buchon, éd. du Panthéon, t. I, p. 645.

17

Voyez les notes de Dacier sur les mss. de Froissart conservés à la Bibliothèque du Roi, dans Buchon, t. III, p. 384.

18

Je dis sans doute, car j'ai fait exprès en 1868 le voyage de Cheltenham pour étudier le ms. 131, et le malheur a voulu que sir Thomas Phillipps n'ait pu le retrouver. C'est par M. Kervyn que j'ai appris quels sont les derniers mots du ms. 131, et je renouvelle ici publiquement au célèbre érudit belge mes remerciments.

19

M. Pinchart, qui a publié des extraits de ces comptes, est le savant qui aura le plus fait en ce siècle pour la biographie positive de Froissart. Voyez sa brochure intitulée: La cour de Jeanne et de Wenceslas, p. 68.

20

Chroniques de Froissart dans Buchon, édit. du Panthéon, t. III, p. 369.

21

P. 15 et 17, 220 et 221.

22

P. 90 à 100.

23

P. 114 à 118.

24

P. 132 à 138.

25

P. 154 à 156.

26

P. 190 et 191.

27

P. 194 à 196.

28

P. 199 à 204.

29

P. 77 à 79. Cf. Jean le Bel, Chroniques, éd. Polain, t. I, p. 79 à 81.

30

P. 126 à 129. Cf. Jean le Bel, t. I, p. 127 à 129.

31

Il faut lire dans J. de Hemricourt la description du train de vie fastueux que menait le chanoine grand seigneur: «… Ilh n'alloit onkes les commons jours delle semaine alle eglize qu'ilh n awist sauzo ou vingt personnes quy le conduysoient, tant de ses proymes come de ses maynyes et de cheaz quy estoyent à ses dras. Et quant c'estoit az jours solempnes, chilz quy estoyent à ses dras le venoyent quère en son hosteit et le mynoyent alle eglize. Sy avoit soventfois assy grant rotte après ly com après l'evesque de Liège, car ilh avoit bin chinquante ou de moins quarante parsiwans qui tos demoroient al dineir deleis ly…» Miroir des nobles de la Hasbaye, par Jacques de Hemricourt, éd. de Salbray, p. 158.

32

P. 211.

33

Ms. 2655, fo 154. Cf. Froissart de Buchon, éd. du Panthéon, t. I, p. 259.

34

Ms. 2655, fos 312 et 313. Cf. Froissart de Buchon, t. I, p. 593 à 595.

35

Bibl. imp., ms. fr. coté 831, fo 161 vo.

36

Étude sur Froissart, par M. Kervyn de Lettenhove, t. I, p. 242 et 243, en note.

37

Bibl. imp., ms. fr. no 831, fo 157 vo.

38

Ms. de Besançon, t. II, fo 201.

39

Étude littéraire sur Froissart, par M. Kervyn, t. I, ch. XII, p. 242 à 246.

40

Cf. dans Buchon, t. II, p. 49.

41

Ms. de Besançon, fo 371 vo. Le manuscrit de notre Bibliothèque impériale coté 2649, reproduction généralement fidèle de celui de Besançon, contient quelques lignes seulement de plus que la partie de ce dernier manuscrit qui correspond au premier livre des autres exemplaires de la première rédaction proprement dite. Le manuscrit 2649 se termine à ces mots: «… ains passèrent oultre et prindrent.» Cf. Froissart dans Sauvage, édit. de 1559, t. I, p. 457, ligne 11.

42

Cf. dans Buchon, t. I, p. 717, col. 2, fin du chap. 394.

43

Cf. dans Buchon, t. II, p. 4, fin de la col. 1.

44

Selon M. Kervyn, cette version plus originale, particulière aux manuscrits de la première rédaction revisée pour les années 1350 à 1356, serait postérieure à 1388, époque du voyage de Froissart en Béarn: «Elle est postérieure à 1388, dit-il, puisque Froissart y raconte les démêlés du sire d'Albret avec les habitants de Capestang, d'après ce que ceux-ci lui dirent. Je la crois écrite vers 1391.» Froissart, t. I, p. 243 en note. Voici le passage sur lequel s'appuie l'argumentation de M. Kervyn: «Depuis me fu dit qu'ils (il s'agit des habitants de Capestang) laissèrent prendre leurs ostages…» Voyez Buchon, éd. du Panthéon, t. I, p. 317. Froissart ne dit nullement dans ce passage qu'il tient les détails qu'il va raconter de la bouche même des habitants de Capestang; par conséquent il n'y a pas lieu d'en conclure avec M. Kervyn que la version des manuscrits revisés pour les années 1350 à 1356 est postérieure au voyage du chroniqueur en Béarn en 1388 et a été écrite vers 1391.

45

Voyez p. 26, l. 21. Le texte devient semblable dans les manuscrits des deux branches après ces mots: Si singlèrent par mer.

46

Les manuscrits désignés simplement par un chiffre appartiennent à notre Bibliothèque impériale. Il faut ajouter à la liste ci-jointe, le bel exemplaire du premier livre conservé dans la bibliothèque du château de Branitz (Prusse). Malheureusement, il ne nous a pas été donné de voir, d'étudier nous-même ce manuscrit; et les renseignements transmis par Son A. le prince de Puckler-Muskau ne nous ont pas permis


Скачать книгу