Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie. Froissart Jean
de Froissart dans
1
Buchon l'a publié d'après les notes de Dacier,
2
Voyez p. 233 de ce volume. Quand on ne trouvera dans les notes que l'indication de la page, cette indication se rapporte toujours au tome I de la présente édition.
3
Ce passage manque dans le célèbre manuscrit de Breslau et dans les manuscrits de la même famille désignés A 23 à 29 dans nos variantes, parce que le texte du premier livre a été abrégé dans ces manuscrits.
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Les manuscrits de la révision ne deviennent semblables aux autres manuscrits de la rédaction ordinaire qu'à partir du § 11, depuis ces mots:
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Cette mention se trouve au fo 20 du ms. d'Amiens qui se compose de 208 folios et au fo 42 du ms. de Valenciennes qui compte 123 folios.
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P. 349.
7
Belgique, prov. Hainaut, arr. Thuin, cant. Binche, à 13 kil. de Mons.
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P. 7 et 209 à 211.
10
P. 209.
11
Voyez p. 210 et cf. la note qui se rapporte à ce passage dans le sommaire du prologue de la première rédaction.
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Froissart,
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15
Le texte de cette dernière leçon est emprunté au ms. de notre Bibliothèque impériale coté 2655, fo 1 vo.
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Les derniers mots sont dans le ms. 2655 et le ms. 131 de sir Thomas Phillipps:
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Voyez les notes de Dacier sur les mss. de Froissart conservés à la Bibliothèque du Roi, dans Buchon, t. III, p. 384.
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Je dis sans doute, car j'ai fait exprès en 1868 le voyage de Cheltenham pour étudier le ms. 131, et le malheur a voulu que sir Thomas Phillipps n'ait pu le retrouver. C'est par M. Kervyn que j'ai appris quels sont les derniers mots du ms. 131, et je renouvelle ici publiquement au célèbre érudit belge mes remerciments.
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M. Pinchart, qui a publié des extraits de ces comptes, est le savant qui aura le plus fait en ce siècle pour la biographie positive de Froissart. Voyez sa brochure intitulée:
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21
P. 15 et 17, 220 et 221.
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P. 90 à 100.
23
P. 114 à 118.
24
P. 132 à 138.
25
P. 154 à 156.
26
P. 190 et 191.
27
P. 194 à 196.
28
P. 199 à 204.
29
P. 77 à 79. Cf. Jean le Bel,
30
P. 126 à 129. Cf. Jean le Bel, t. I, p. 127 à 129.
31
Il faut lire dans J. de Hemricourt la description du train de vie fastueux que menait le chanoine grand seigneur: «… Ilh n'alloit onkes les commons jours delle semaine alle eglize qu'ilh n awist sauzo ou vingt personnes quy le conduysoient, tant de ses proymes come de ses maynyes et de cheaz quy estoyent à ses dras. Et quant c'estoit az jours solempnes, chilz quy estoyent à ses dras le venoyent quère en son hosteit et le mynoyent alle eglize. Sy avoit soventfois assy grant rotte après ly com après l'evesque de Liège, car ilh avoit bin chinquante ou de moins quarante parsiwans qui tos demoroient al dineir deleis ly…»
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P. 211.
33
Ms. 2655, fo 154. Cf. Froissart de Buchon, éd. du Panthéon, t. I, p. 259.
34
Ms. 2655, fos 312 et 313. Cf. Froissart de Buchon, t. I, p. 593 à 595.
35
Bibl. imp., ms. fr. coté 831, fo 161 vo.
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Bibl. imp., ms. fr. no 831, fo 157 vo.
38
Ms. de Besançon, t. II, fo 201.
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Cf. dans Buchon, t. II, p. 49.
41
Ms. de Besançon, fo 371 vo. Le manuscrit de notre Bibliothèque impériale coté 2649, reproduction généralement fidèle de celui de Besançon, contient quelques lignes seulement de plus que la partie de ce dernier manuscrit qui correspond au premier livre des autres exemplaires de la première rédaction proprement dite. Le manuscrit 2649 se termine à ces mots: «… ains passèrent oultre et prindrent.» Cf. Froissart dans Sauvage, édit. de 1559, t. I, p. 457, ligne 11.
42
Cf. dans Buchon, t. I, p. 717, col. 2, fin du chap. 394.
43
Cf. dans Buchon, t. II, p. 4, fin de la col. 1.
44
Selon M. Kervyn, cette version plus originale, particulière aux manuscrits de la première rédaction revisée pour les années 1350 à 1356, serait postérieure à 1388, époque du voyage de Froissart en Béarn: «Elle est postérieure à 1388, dit-il,
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Voyez p. 26, l. 21. Le texte devient semblable dans les manuscrits des deux branches après ces mots:
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Les manuscrits désignés simplement par un chiffre appartiennent à notre Bibliothèque impériale. Il faut ajouter à la liste ci-jointe, le bel exemplaire du premier livre conservé dans la bibliothèque du château de Branitz (Prusse). Malheureusement, il ne nous a pas été donné de voir, d'étudier nous-même ce manuscrit; et les renseignements transmis par Son A. le prince de Puckler-Muskau ne nous ont pas permis