Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie. Froissart Jean
le ms. de Saint-Vincent de Besançon.
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Sur la manière dont se terminent ces manuscrits, voyez ce qui a été dit plus haut, p. XIII et XIV, XXVII et XXVIII.
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Voyez l'édition imprimée par Johnes en son château d Hafod en 1803, formats in-4o et in-8o. Johnes est également l'auteur d'une traduction anglaise des
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Dans ce tableau, comme dans le précédent, les manuscrits désignés par un simple chiffre appartiennent à notre Bibliothèque impériale.
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Ce manuscrit, qui provient du fonds de Gaignières, est toujours appelé dans les variantes du texte de ce volume:
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Voyez le chapitre I de la seconde partie de cette introduction.
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Sur la manière dont se termine le premier livre dans les divers manuscrits de la première rédaction revisée, voyez plus haut la fin du § 2, p. XIII et XIV, XXVII et XXVIII.
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Le copiste doit avoir oublié un C. Ces mots:
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Notre édition est la seule où l'on ait utilisé ce précieux abrégé.
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Grand in-fol. vélin de 208 feuillets. Le texte est disposé sur deux colonnes dont chacune a soixante lignes. Ecriture de la première moitié du quinzième siècle.
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In-4o papier de 123 feuillets. Le texte est disposé sur une seule colonne. Écriture de la fin du quinzième siècle.
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P. 425 à 427 de ce volume.
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Voyez la note de la p. 329.
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P. 244, dernière ligne, 264, 277, 281, 297, 308, 383, etc. Le manuscrit 6477-6479, auquel nous avons emprunté le texte du premier livre et où l'empreinte wallonne est aussi très marquée, offre parfois la même particularité. Voyez p. 19, l. 17.
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«… si qu'ilz ne seurent dedens deux jours
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P. 253.
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p. 277.
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Ms. de Valenciennes, fo 12 vo.
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P. 446.
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p. 485 et 490.
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p. 445.
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p. 490.
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p. 485.
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P. 221: «… acquerre et pourchachier amis et confortans…»
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P. 333: «… il chouchièrent grant foison d'arbres et de bois…»
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En attendant le glossaire qui doit être joint à cette édition, c'est ici l'occasion de signaler aux philologues le mot
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P. 349.
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P. 349, en note.
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Voyez nos variante, p. 211, 213, 217, etc. Les lacunes du manuscrit d'Amiens ont été comblées à l'aide du texte de Valenciennes.
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P. 211, l. 14.
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Mémoire sur le manuscrit de Froissart de la ville d'Amiens et en particulier sur le récit de la bataille de Crécy, par M. Rigollot, dans le t. III des
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Un extrait des comptes du receveur de Binche, publié par M. Pinchart, constate que, le 25 juillet 1382, le duc de Brabant fit don d'une somme de dix francs valant douze livres dix sous «à messire Jehan Froissard, curet de Lestinnez ou Mont,
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Les mots:
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Ms. de Besançon, t. II, fo 333. Les premiers mots omis dans le ms. de Besançon ont été restitués à l'aide des mss. de notre Bibliothèque impériale, qui appartiennent à la même famille.
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La forme Lestinnes, qui paraît être une abréviation de les Estinnes, est seule usitée dans les documents du quatorzième siècle.
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Nous devons l'indication détaillée de cet acte, conservé aux Archives du Nord, dans le fonds de la Chambre des Comptes, carton B744, à l'obligeance de MM. Desplanque, Mannier et Losfeld. Voyez l'
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Lessines, Belgique, prov. Hainaut, arr. Thuin, chef-lieu de canton.
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En vertu d'une transaction datée du 13 mai 1363, une rente de deux mille livres fut donnée par le comte de Hainaut à titre d'apports d'Elisabeth de Hainaut, mariée à Robert de Namur en 1354; et cette rente fut constituée «sur les terres d'Estrew (Estreux), de Chièvre et de Lessine.»
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Bibl. imp., ms. fr. 831, fo 157 vo.
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Ms. d'Amiens, fo 93 vo.
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Ibid.
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