Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie. Froissart Jean

Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie - Froissart Jean


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dissertation de M. Rigollot est joint un très-bon travail de M. de Cayrol.

96

P. 103 à 114.

97

P. 313 à 315, 316 à 319, 321, 322, 329 à 336, 341 à 352.

98

P. 377 à 388.

99

P. 126 à 129.

100

P. 395 et 396.

101

P. 388 à 393.

102

P. 394 et 395.

103

Ms. d'Amiens, fo 46 vo.

104

Ms. d'Amiens, fo 52.

105

Ms. d'Amiens, fo 83 vo.

106

P. 210.

107

P. 209.

108

On lit: «le roine», fo 5 ro; «le fille», fo 21 vo; «le bataille de Cassiel», fo 25 vo; «le mort dou conte», fo 26 ro; «le chevallerie dou conte Guillaume», fo 40 ro; «le bataille de Gagant», fo 41 ro, «le bataille de Crechy», fo 117 vo.

109

P. 234 de ce volume.

110

P. 236.

111

P. 239.

112

P. 243.

113

P. 245.

114

P. 247.

115

P. 239 et 240.

116

P. 471.

117

P. 269.

118

P. 247.

119

P. 257.

120

Froissart se donne à la fin du prologue de la première rédaction revisée (voyez p. 7) le titre de sire; il semble toutefois reconnaître implicitement qu'il n'y avait pas droit, car il ajoute aussitôt ce correctif: qui tant me voet honnerer. On sait en effet que la qualification de sire ou messire, appliquée parfois aux clercs à titre gracieux, était plus particulièrement réservée aux gentilshommes; mais il y a une noblesse innée, personnelle, qui s'impose en dépit de toutes les conventions sociales: qui posséda jamais cette noblesse à un plus haut degré que le chroniqueur de Valenciennes?

121

P. 304.

122

P. 214.

123

P. 224.

124

P. 243.

125

P. 249.

126

P. 294.

127

P. 306.

128

P. 307, 319 et 327.

129

P. 312.

130

P. 321.

131

P. 337.

132

P. 338.

133

Voyez p. 286 de ce volume en quels termes touchants Froissart parle de Philippe de Hainaut: «Et tant comme elle vesqui, li roiaulmes d'Engleterre eut grasce, prosperité, honnour et toutes bonnes aventures; ne onques famine ne chier temps de son resgne n'i demorèrent.» Ce passage appartient à la troisième rédaction, et Froissart était chanoine de Chimay lorsqu'il écrivit ce bel éloge de sa bienfaitrice.

134

Froissart avait toujours eu des tendances aristocratiques; mais nulle part il ne les accuse avec plus de force que dans la troisième rédaction, où le dédain pour les vilains est parfois poussé jusqu'à l'injustice et même jusqu'à l'insulte. Il dit des Flamands qui combattirent à Cassel (voyez p. 300): «Toutes fois Dieus ne volt pas consentir que li signeur fuissent là desconfi de tel merdaille.» Il faut plaindre Froissart d'avoir qualifié avec une telle grossièreté ces braves communiers flamands qui se firent tuer avec tant de courage. Lorsqu'il écrivit ces lignes, les excès de la populace anglaise étaient sans doute présents à sa pensée et ne lui inspiraient que du dégoût pour ce peuple dont il était pourtant sorti, comme Jeanne d'Arc allait bientôt en sortir. C'est l'éternelle histoire: on fait expier au peuple les fautes et les crimes de la populace.

135

P. 289 de ce volume. Froissart, qui ne tenait pas de première main le récit de cette admirable scène, n'a pas atteint la grandeur simple du chanoine de Liége, comme on le verra en comparant la première rédaction (p. 79 à 81), reproduction pure et simple du texte de Jean le Bel, à la narration originale qui lui a été substituée dans la troisième (p. 289).

136

Le premier livre des Chroniques de Jehan Froissart, préface, p. XII et XIII. Bruxelles, 1863, 2 vol. in-8o.

137

[OE]uvres de Froissart, publiées sous les auspices de l'Académie royale de Belgique. Chroniques, t. V, p. 87 et 88. Bruxelles, 1868 in-8o.

138

Les passages soulignés sont ceux qui manquent dans l'édition de M. Kervyn.

139

Œuvres de Froissart, t. V, p. 104.

140

Ibid., p. 106.

141

[OE]uvres de Froissart, t. V, p. 111.

142

Ibid., p. 116.

143

Œuvres de Froissart, t. V, p. 122.

144

Ibid., p. 141.


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