Le barbier de Séville; ou, la précaution inutile. Pierre Augustin Caron de Beaumarchais
1806, à soixante-quatre ans. Il a appartenu à l'Opéra de 1761 à 1783, classé dans ce qu'on appelait
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Verbe de la composition de Beaumarchais.
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L'un des manuscrits du Théâtre-Français orthographie Figaro, tout le long de la pièce,
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Ce qu'on nomme chez nous un «beau»; mais un «beau» vulgaire, une sorte de coq de village ou d'artisan endimanché.
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Dans le manuscrit de la Comédie-Française Basile est qualifié «organiste et musicien italien».
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Capitale de l'Andalousie, dit le manuscrit.
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Cette petite partition est de nos jours difficile à trouver. La Bibliothèque du Conservatoire de musique en possède un exemplaire, en assez mauvais état, et que nous avons eu sous les yeux. C'est une partition grand in-4º arrangée pour orchestre avec l'indication des jeux de scène, des paroles et des voix. On lit sur la première page cette note manuscrite:
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Variante 1.
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Variante 2.
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Variante 3.
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Variante 4.
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Variante 5.
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Variante 6.
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Variante 7.
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Variante 8.
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Variante 9.
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Variante 10.
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Variante 11.
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Variante 12.
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Variante 13.
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Variante 14.
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Mot fabriqué par Beaumarchais à l'adresse du censeur Marin, l'un de ses adversaires dans l'affaire Goëzmann.
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Encore un mot inventé pour désigner les journalistes, les critiques, etc., qu'il appelle encore «les puces» dans le manuscrit du Théâtre-Français.
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Variante 15.
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Variante 16.
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Variante 17.
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Bartholo n'aimoit pas les drames. Peut-être avoit-il fait quelque Tragédie dans sa jeunesse. (
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Variante 18.
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Variante 19.
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Variante 20.
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Variante 21.
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Variante 22.
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Variante 23.
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Variante 24.
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Variante 25.
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Variante 26.
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Variante 27.
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Variante 28.
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Variante 29.