Journal du corsaire Jean Doublet de Honfleur, lieutenant de frégate sous Louis XIV. Doublet Jean

Journal du corsaire Jean Doublet de Honfleur, lieutenant de frégate sous Louis XIV - Doublet Jean


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octobre 1712, 4 septembre 1725, 9 décembre 1726 et 18 décembre 1728. Reg. de l'état civil de Barneville, 21 déc. 1728.

      13

      Quelquefois il emploie des expressions usitées dans le patois normand: il dit l'assoirant qui signifie l'approche du soir; s'ivrer pour s'enivrer.

      14

      Voy. aux Additions les pièces nos 6 et 7.

      15

      Arch. de la Marine, service général, 22 avril et 4 mai 1711.

      16

      Il s'agit des îles Sebaldines, dans le détroit de Magellan, découvertes par Sebald de Weerdt, navigateur hollandais, en 1599.

      17

      François Doublet, Me apothicaire, rue Brûlée à Honfleur, né dans les vingt premières années du dix-septième siècle, mort avant l'année 1678 «aux païs estrangers où il étoit employé pour le service du roy.» – Reg. des délib. munic. 24 mai 1679.

      18

      Les îles St. Jean, de la Madeleine, Brion et aux Oiseaux forment un groupe d'îlots situés au nord du cap Breton, dans le golfe du fleuve St. Laurent. La compagnie de la Nouvelle France concéda ces îles à François Doublet par lettres du 19 janvier 1663. Voy. aux additions la pièce no 1.

      19

      A défaut de l'acte de baptême, cette indication permet de fixer la date de naissance de Doublet. Suivant lui, il était âgé de sept ans et trois mois en février 1663; il faut donc reporter sa naissance au mois de novembre 1655.

      20

      Nicolas Denis reçut provisions de lieutenant général en Canada le 30 janvier 1654. Il était fils de Mathurin Denis, écuyer, sieur de Fronsac, capitaine des gardes de Henri III.

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1

Voyez la Revue historique, tome XII, p. 48 et 314.

2

Dép. du Calvados, arr. de Pont-l'Evêque.

3

Voy. aux additions, pièce no 3.

4

Reg. de l'état civil de Honfleur, 12 avril 1722.

5

Acte de notoriété du 24 mai 1679. Arch. munic., Délibér., reg. no 57, fol. 20 ro.

6

Rue des Capucins, no 25.

7

Actes de l'Hôtel-de-Ville des 17 novembre 1499, 15 mai 1502, février 1522.

8

Recherche faite en 1540 par les Elus de Lisieux, (Caen, 1827.)

9

Id. p. 112 et 118.

10

Arc. de Pennedepie, reg. de l'état-civil.

11

Les historiens n'ont pas manqué depuis un siècle à la marine française, mais tout ce qui, au point de vue historique, concerne la transformation de ses institutions est resté généralement ignoré. Dans une série d'articles parus dans la Revue maritime M. Didier Neuville a commencé à combler cette lacune, en étudiant les Etablissements scientifiques dans leur origine et leur développement. On y trouvera notamment exposé clairement tout ce qu'on connaît jusqu'ici sur la création des écoles d'hydrographie.

12

Reg. des délib. munic. 29 septembre 1711, 21 janvier, 15 février et 1er octobre 1712, 4 septembre 1725, 9 décembre 1726 et 18 décembre 1728. Reg. de l'état civil de Barneville, 21 déc. 1728.

13

Quelquefois il emploie des expressions usitées dans le patois normand: il dit l'assoirant qui signifie l'approche du soir; s'ivrer pour s'enivrer.

14

Voy. aux Additions les pièces nos 6 et 7.

15

Arch. de la Marine, service général, 22 avril et 4 mai 1711.

16

Il s'agit des îles Sebaldines, dans le détroit de Magellan, découvertes par Sebald de Weerdt, navigateur hollandais, en 1599.

17

François Doublet, Me apothicaire, rue Brûlée à Honfleur, né dans les vingt premières années du dix-septième siècle, mort avant l'année 1678 «aux païs estrangers où il étoit employé pour le service du roy.» – Reg. des délib. munic. 24 mai 1679.

18

Les îles St. Jean, de la Madeleine, Brion et aux Oiseaux forment un groupe d'îlots situés au nord du cap Breton, dans le golfe du fleuve St. Laurent. La compagnie de la Nouvelle France concéda ces îles à François Doublet par lettres du 19 janvier 1663. Voy. aux additions la pièce no 1.

19

A défaut de l'acte de baptême, cette indication permet de fixer la date de naissance de Doublet. Suivant lui, il était âgé de sept ans et trois mois en février 1663; il faut donc reporter sa naissance au mois de novembre 1655.

20

Nicolas Denis reçut provisions de lieutenant général en Canada le 30 janvier 1654. Il était fils de Mathurin Denis, écuyer, sieur de Fronsac, capitaine des gardes de Henri III.

21

Ce Philippe Gaignard établi chirurgien à Rouen avait précédemment résidé à Honfleur. Il était le neveu d'un capitaine de navire de ce port, Thomas Frontin, beau-frère de l'armateur Nicolas Lion de St. – Thibault dont les navires le Henry et le St. – Pierre effectuaient chaque année un voyage à Terre-Neuve. – Reg. de l'amirauté. Voy. aux additions la pièce no 2 du 23 avril 1663.

22

Un acte d'association du 1er février 1664 avait été passé entre François Doublet, François Gon sieur de Quincé et Claude de Landemare, marchands à Rouen, pour l'exploitation des îles de la Madeleine. Ce dernier, Claude de Landemare, était déjà intéressé dans l'opération, car il parut devant les tabellions de Honfleur le 30 mars, 1664 et fit ses comptes avec François Doublet. Il lui revenait pour le voyage de 1663, 612 livres 15 sols 3 deniers. – Reg. du tabellionage de Roncheville.

A la ligne suivante, Doublet a écrit: «nous partismes du port au commencement de Mars…»; dans l'acte cité ci-dessus son père s'engage à partir pour un nouveau voyage à la marée du lendemain, c'est-à-dire le 1er avril.

23

Il s'agit de la compagnie de la Terre ferme d'Amérique réorganisée par un édit du 28 mai 1664 sous le nom de compagnie des Indes Occidentales.

24

La découverte de cette mine coincida avec le départ de l'intendant Talon pour le Canada. Jugeant que la découverte des minéraux ou riches ou de basse estoffé était un point essentiel aux affaires du roi, Talon obtint l'envoi au Canada de quarante travailleurs. La compagnie les recruta en Normandie et elle en confia la conduite à François Doublet. En outre de plomb, l'ingénieur-fondeur prétendait trouver de l'argent à la côte de Gaspée; «cette prétention paroist fondée,» écrivait Talon. – Arch. de la marine, Canada, 22 avril, 27 avril et 4 octobre 1665.

25

Ce marin originaire de Normandie, est resté inconnu. Toutefois la correspondance de Talon, intendant au Canada, et les dépêches de Colbert en font mention. Au mois de novembre 1670, le capitaine Poulet ou Poullet se trouvait à Québec. «Cet homme savant par une longue habitude et une expérience acquise de bas aage et devenu habile navigateur,» proposa de tenter la découverte de la communication de la mer du Sud et de celle du Nord par le détroit de Davis, «ou par le détroit de Magellan pour après avoir doublé tout le revers de l'Amérique jusqu'au Califourny reprendre les vents de l'Ouest et à leur faveur


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