Charlotte de Bourbon, princesse d'Orange. Delaborde Jules

Charlotte de Bourbon, princesse d'Orange - Delaborde Jules


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de La Planche, loc. cit., p. 39.

      14

      Ap. Tommasco, Relazioni, in-4o, t. Ier, p. 133.

      15

      De La Place, Comment., édit. de 1565, p. 109, 110, 111. – De Thou, Hist. univ., t. II, 824, 825.

      16

      De Thou, Hist. univ., t. II, p. 832.

      17

      Hist. univ., t. II, p. 776.

      18

      De La Place, Comment., p. 237.

      19

      Comment., p. 237. – Voir à l'Appendice, no 1, une pièce de vers composée, peu de temps après la mort de la duchesse de Montpensier, et qui donne une idée des sentiments élevés dont on la savait animée.

      20

      «La duchesse de Montpensier avoit destiné une de ses filles, nommée Charlotte au duc de Longueville.» (De Thou, Hist. univ., t. III, p. 60.)

      21

      Lettres françaises de Calvin, t. II, p. 179, 265, 267, 286, 499. L'une de ces lettres, adressée par Calvin au jeune duc de Longueville, le 22 août 1559 (p. 286) contenait ce passage: «Monseigneur, vous avez un grand advantage, en ce que madame vostre mère ne désire rien plus que de vous voir cheminer rondement en la crainte de Dieu, et ne sçauroit recevoir plus grand plaisir de vous qu'en vous voyant porter vertueusement la foy de l'Évangile.»]

      22

      D'Aubigné, Hist. univ., t. II, liv. Ier, ch. 11.

      23

      Information secrète du 28 avril 1572. – François Daverly portait le titre de seigneur de Minay.

      24

      Il nous semble impossible qu'une active correspondance, inspirée par la plus tendre affection, n'ait pas existé entre Charlotte de Bourbon et sa sœur la duchesse de Bouillon, surtout depuis l'année 1562; époque à laquelle cette femme si distinguée, à tant de titres, avait, ainsi que le duc, son mari, ouvertement embrassé la religion réformée, et dès lors chaleureusement servi, avec lui, non seulement les intérêts spirituels et matériels des habitants du

1

Par le mariage de Béatrix de Bourbon avec Robert, l'un des fils du roi saint Louis.

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Charlotte de Bourbon, ainsi que le prouve un acte émané d'elle le 25 août 1565, lequel sera ci-après reproduit, ignorait à tel point la date précise de sa naissance, qu'elle ne pouvait pas plus se dire, en 1565, âgée de treize ans que de douze.

3

Psaume XXVII, 10.

4

Ep. aux Galates. VI. 7.

5

Ce prêtre, l'un des familiers de la maison du duc et de la duchesse de Montpensier, à titre de précepteur de leur fils, n'était autre que Ruzé, qui depuis devint évêque d'Angers: c'est ce que déclara le duc de Montpensier lui-même dans une lettre adressée, le 28 mars 1572 à l'électeur palatin, et insérée ici au no 2 de l'Appendice.

6

Voir une information secrète du 28 avril 1572, dont le texte complet sera reproduit plus loin.

7

A peine est-il nécessaire d'ajouter que la résignation du titre et des fonctions d'abbesse de Jouarre, par la tante au profit de sa nièce, concorda avec l'entrée en religion dont il s'agit.

8

Bibl. nat., mss., f. fr., vol. 3, 182, fo 82. —Ibid. Collect. Clérambault. vol. 1,114, fo 182. – Coustureau, Vie du duc de Montpensier, in-4o, p. 217.

9

Coustureau, Vie du duc de Montpensier, p. 221.

10

Ils sont, avec addition de détails complémentaires, pleinement confirmés par l'information secrète du 28 avril 1572, contenant les dépositions de six religieuses de l'abbaye de Jouarre, autres que celles qui avaient, le 25 août 1565, attesté, en leur déclaration la sincérité des faits énoncés par Charlotte de Bourbon, dans sa protestation du même jour.

11

«Quant au duc de Montpensier, il portoit telle inimitié à la religion (réformée), et avoit esté de telle sorte pratiqué par ceux de Guise, qu'il se bandoit du tout contre soy-mesme, sans pouvoir gouster la conséquence des entreprises contraires.» (Regnier de La Planche, Hist. du règne de François II, édit. de 1576, p. 567).

12

De Thou, Hist. univ., t. III, p. 59.

13

Regnier de La Planche, loc. cit., p. 39.

14

Ap. Tommasco, Relazioni, in-4o, t. Ier, p. 133.

15

De La Place, Comment., édit. de 1565, p. 109, 110, 111. – De Thou, Hist. univ., t. II, 824, 825.

16

De Thou, Hist. univ., t. II, p. 832.

17

Hist. univ., t. II, p. 776.

18

De La Place, Comment., p. 237.

19

Comment., p. 237. – Voir à l'Appendice, no 1, une pièce de vers composée, peu de temps après la mort de la duchesse de Montpensier, et qui donne une idée des sentiments élevés dont on la savait animée.

20

«La duchesse de Montpensier avoit destiné une de ses filles, nommée Charlotte au duc de Longueville.» (De Thou, Hist. univ., t. III, p. 60.)

21

Lettres françaises de Calvin, t. II, p. 179, 265, 267, 286, 499. L'une de ces lettres, adressée par Calvin au jeune duc de Longueville, le 22 août 1559 (p. 286) contenait ce passage: «Monseigneur, vous avez un grand advantage, en ce que madame vostre mère ne désire rien plus que de vous voir cheminer rondement en la crainte de Dieu, et ne sçauroit recevoir plus grand plaisir de vous qu'en vous voyant porter vertueusement la foy de l'Évangile.»]

22

D'Aubigné, Hist. univ., t. II, liv. Ier, ch. 11.

23

Information secrète du 28 avril 1572. – François Daverly portait le titre de seigneur de Minay.

24

Il nous semble impossible qu'une active correspondance, inspirée par la plus tendre affection, n'ait pas existé entre Charlotte de Bourbon et sa sœur la duchesse de Bouillon, surtout depuis l'année 1562; époque à laquelle cette femme si distinguée, à tant de titres, avait, ainsi que le duc, son mari, ouvertement embrassé la religion réformée, et dès lors chaleureusement servi, avec lui, non seulement les intérêts spirituels et matériels des habitants du duché, mais aussi ceux d'une foule de personnes venues de France, auxquelles un asile était accordé à Sedan et à Jametz. Des documents précis, postérieurs à 1572, témoignent au surplus de l'étroite amitié qui unissait l'une à l'autre les deux sœurs, Charlotte et Françoise de Bourbon.

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Nous ne tracerons pas ici le tableau des monstrueux excès par lesquels le duc se déshonora. On frémit d'indignation et de dégoût à l'aspect des lugubres et cyniques détails dans lesquels sont entrés, sur ce point, Brantôme (édit. L. Lal., t. V, p. 9 et suiv.), et, plus amplement encore l'auteur de l'Histoire des martyrs (in-fo 1608, p. 589 à 591, et 593, 594). –


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