Storia della letteratura italiana, t. VII, p. 1514, édit. des Classiques, de Milan, 1824, in-8.
30
Bottari, Lettere pittoriche, t. V, p. 140-146, ad notam.
31
Vida de don D. H. de Mendoza, p. 38, 39.
32
Vida de don D. H. de Mendoza, p. 46.
33
Cartas de santa Teresa de Jesus, T. 1er, carta 11.
34
Vida de don D. H. de Mendoza, ut suprà, de la p. 38 à la p. 51.
35
Bibliothèque impériale de Paris, Y, n. 6256.
36
Vida de don D. H. de Mendoza, p. 51.
37
Cette pièce commence ainsi (p. 114):
Estoy en una prisionEn un fuego y confusionSin pensallo.Que aunque me sobra razonPara dezir mi passionSufro y callo.
38
Quintas a una despedida, p. 141:
Yo parto, y muero en partirme,Yo lo procure, yo lo pago.No me dexcys en el trago,Señora, del despedirme,Por el servicio que os hago.
39
Il est rapporté en tête du volume publié à Madrid en 1610, et se trouve au verso du feuillet qui contient l'approbation de l'ouvrage et le permis d'imprimer donné par l'inquisition.
40
Dans le catalogue des meilleures estampes du musée de Madrid, on trouve cité le portrait de don D. H. de Mendoza, parmi ceux des cent quatorze personnages illustres de la nation espagnole. – P. 7. Cuaderno, 6º.
41
Du 31 mars 1621 au 17 septembre 1665.
42
Œuvres de Voiture, édit. de M. Ubicini, 2 vol. in-12, chez Charpentier. 1855, t. II, p. 271 et suivantes.
43
À Cologne, chez Pierre Van Egmondt, à la Sphère, 1673; petit in-16. – Bibliothèque impériale, nº 1963.
44
Par exemple, après avoir dit du comte-duc: «Andò alla corte e vi andò addottrinato, non vi andò ignorante, il ajoute: La corte non è una scuola di grammatica; ella non da i primi alimenti e non insegna e primi elementi; il di lui cibo non è latte; di rado produce, raffina, etc. Telle est la manière du marquis, pleine de recherche, et au fond très-vide. – Le passage ci-dessus est extrait, p. 14, de son ouvrage intitulé: Il ritratto del privato politico cristiano, estratto dall'originale d'alcune attioni del co-duca di san Lucar; dédié à Philippe IV, Bologne, 1635, presso Giacomo Monti, etc., in-8º de 135 pag., plus l'Introduction. – Le marquis Malvezzi a composé un autre livre à la louange de Philippe IV et de son ministre, sous ce titre: Introduttione al raconta de' principali successi accaduti sotto il commando del potentissimo Re Philippo quarto. —Roma, 1651, in-8º de 107 pages, plus le bref d'Innocent X, la dédicace au roi d'Espagne et l'avertissement. Les deux ouvrages sont à la Bibliothèque impériale, contenus dans le même volume, avec la Caduta del conte Olivarès, l'anno 1643, du père Camillo Guidi, in Ivrea, 1644, – 0,388. – L'Histoire d'Olivarès a encore été écrite en italien par D. J. – J. d'Ischia, Udine, 1653, in-24, et par le comte Ferrante Pallavicini, opere scelte.
45
Gil Blas, t. III, liv. XI, chap. II, p. 238-9; édit. in-8º des Classiques latins, de Lefebvre.
46
Ibid., chap. V, p. 249-250.
47
La caduta del conte d'Olivarès, p. 33-4. Bibliothèque impériale, 0,388, à la fin du volume.
48
Il ritratto del privato politico, etc., ut suprà, p. 41.
49
Conoscendo che questa ambasciaria era un fermarsi, non la volle accettare.—Ut suprà, p. 15.
50
Il était né le 8 avril 1605.
51
Ut suprà, p. 16.
52
T. II, p. 272, édit. de M. Ubicini.
53
L'histoire du ministère du comte-duc, etc., p. 6-7.
54
Las vidas de los pintores y estatuarios eminentes Españoles, que con sus heroycas obras han illustrado la nacion, etc. Londres, 1742, un vol. in-8, p. 37, nº 57. – Ce livre n'est qu'un abrégé du grand ouvrage de Palomino.
55
Catalogo, 1850, nº 27, p. 18.
56
La Tragedia mas lastimosa, el conde de Sex; —Dar la vida por su dama, etc. Voyez à ce sujet: Ochoa, Tesoro del teatro español, 5 vol. in-8. Paris, 1838, t. V, p. 98.
57
Jean de Butron, Discursos apologeticos en que se defiende la ingenuidad del arte de la pintura. In-4, Madrid, 1626.
58
Velasquez and his Works, London, 1855, in-12, avec le portrait eau-forte de Velasquez; excellente biographie, à laquelle je ferai plus d'un emprunt; elle est extraite d'un ouvrage plus considérable du même auteur: Annals of the artists of Spain, London, 1848.
59
Palomino, p. 18-19, nº 30.
60
Notizie de' professori di disegno, decennale III, dal 1600 al 1640. In-4, p. 313, Vº. Vincenzio Carducci, t. V.
61
Dialogo 7.
62
Baldinucci, ut suprà, p. 315.
63
Palomino, p. 36, nº 55, Vº. Patricio Caxes. Le catalogue du real Museo n'indique qu'un seul tableau de cet artiste, sous le nº 162, la Vierge avec l'enfant Jésus.
64
Pag. 53, nº 73, Eugenio Caxes.
65
Catalogo, nº 151.
66
Pag. 74, nº 102.
67
Arte de la pintura, su antiguedad y grandezas, etc.; par Francisco Pacheco, Vezino de Sevilla, año 1649; petit in-4º, p. 101 et suivantes. – Bibliothèque impériale, V. 1737.
68
Palomino, p. 77, nº 106 (abrégé de son grand ouvrage; Londres, 1742, in-8º) veut que Velasquez ait été d'abord élève de Francisco Herrera le vieux. Mais nous trouvons dans le même auteur, p. 66, nº 91, que «Francisco Herrera, nommé le Vieux, peintre, architecte et sculpteur en bronze, fut natif et habitant de Séville, et élève de Francisco Pacheco;» et, p. 68, qu'il mourut à la cour en 1656: il était donc à peu près de même âge que Velasquez, et par conséquent, il n'aurait pu lui servir de maître. Aussi, le catalogue du real museo de Madrid (édit. de 1850) indique Velasquez seulement comme élève de Pacheco. – Ce dernier, de son côté, dans son Arte de la Pintura, réclame pour lui seul la gloire d'avoir formé un tel disciple. Voici le passage où il revendique cet honneur (p. 171, § 2): «Diego de Silva Velasquez, mon gendre, occupe la troisième place (parmi les artistes qui ont le plus