Le pacte des vierges. Jessa James
qui prendrait sa virginité. Sa chatte, son cul, elle était à moi. Chaque partie innocente d’elle.
C’en était fini de l’attente.
« Alors, comment ça se passe pour ton examen du barreau ? »
Merde. J’essayai de ne pas grogner de nouveau, me forçai à repousser mes pensées cochonnes dans les parties les plus profondes de mon cerveau. Je penchai la tête sur le côté et essayai d’arborer mon meilleur sourire. Lise, la professeur de musique de l’école, me regardait en attendant une réponse.
« C’est dans quelques mois, pas vrai ? » renchérit-t-elle alors, en élargissant son sourire.
J’acquiesçai et essayai de trouver un autre sujet pour continuer la conversation, mais une tête aux cheveux blonds attira mon attention, au loin. Jane était dans un cercle d’amies, avec Anne et quelques autres élèves. Elles portaient toutes leurs tenues de cérémonie, qui étaient trop longues à mon goût, mais le vent soufflait parfois pour dévoiler leurs jupes à carreaux qui arrivaient au-dessus du genou.
Merde. Je jurai en moi de nouveau. Ma bite avait officiellement un esprit autonome. Je me décalai légèrement sur le côté. Je ne voulais pas aiguillonner Lise ou qui que ce soit d’autre avec ma bite, et avec Jane je voulais faire plus que ça.
« Merde, » dis-je tout haut à mon attention, en secouant la tête et en riant. Mes pensées me trahissaient et je savais que c’était tout simplement futile d’essayer de les contrôler.
« Oh... » La tête de Lise était impayable. Elle avait trois ans de plus que moi, mais agissait comme si elle avait bien plus de trente ans. Pour la décrire simplement, elle marchait comme si elle avait un balai dans le cul et quelqu’un avait besoin de le lui retirer, mais ça n’allait pas être moi.
« Désolé, m’excusai-je. Je viens de me rappeler, j’ai quelque chose à faire.
- Oh, quoi donc ? » demanda-t-elle, en posant son regard sur les groupes d’étudiantes et leurs parents qui s’affairaient tout autour.
La plupart d’entre eux prenaient des photos et s’échangeaient des vœux de bonheur. J’avisai Jane, au loin. Elle brandissait son portable devant elle et prenait des selfies avec ses amies. Je remarquai que c’était la seule de son groupe à ne pas porter un bouquet de roses.
Où étaient ses parents ? Est-ce qu’ils étaient déjà partis ?
Ces étudiantes, fortunées et aisées, en avaient beaucoup – des parents absents. Il fallait bien que les parents tirent cet argent de quelque part. Les quarante-huit mille euros de frais de scolarité annuels ne se réglaient pas tout seuls.
« Désolée, est-ce que je vous incommode ? » demanda Lise, après que je n’eus rien dit pendant deux minutes.
Oui. « Non, bien sûr que non, répondis-je un peu trop vite. Je veux dire… il n’y a pas grand-chose à dire sur mes études pour le barreau. C’est dans deux mois, alors j’essaye tout simplement d’apprendre le plus de choses possibles. Je vais passer l’été le nez dans les livres. »
Ou entre les jambes écartées de Jane.
« Eh bien, je suis sûre que d’enseigner l’éducation civique doit aider. »
Pas vraiment, mais j’acquiesçai. « C’est vrai. »
Jane m’aide, me souffla ma conscience, et je réalisai que j’allais devoir partir avant d’avoir une érection massive à montrer au monde entier. « Excusez-moi. »
Je me retournai sans rien ajouter et retournai au bâtiment principal. Je pris les escaliers qui menaient jusqu’à ma salle de classe pour y attendre.
Attendre Jane. Pour la faire mienne. Enfin.
Rien que de penser à elle et au petit mot qu’elle avait échangé avec Anne suffisait à se faire dresser ma bite contre le bord de mon pantalon. Je posai le dos de ma main fermement contre ma bite. Bordel de Dieu, heureusement que le bâtiment était complètement vide. Ce que je voulais faire n’était que pour Jane et moi. Je serais le seul à voir son corps, le seul à entendre ses gémissements. Je la prendrai comme je le voudrais, où je voudrais, y compris dans mon fantasme favori, penchée sur mon bureau.
Allongée dessus, les jambes écartées.
Sur le sol. Sous la table pour qu’elle s’agenouille entre mes jambes en me suçant tandis que je resterais assis dans ma chaise. Contre les armoires.
Les affaires scolaires qui traînaient seraient une jolie petite touche à ajouter – cette règle pour la fesser.
Elle est vierge, me rappelai-je.
On aurait le temps de parler de choses plus sauvages plus tard. Pour le moment, rien que de penser à du sexe traditionnel avec elle était suffisant pour me faire jouir dans mon pantalon. Je penchai la tête sur le côté pour regarder l’horloge juste au-dessus de la porte d’entrée. Elle serait là d’une minute à l’autre maintenant, mais ma bite n’en pouvait plus d’attendre. Je la caressai depuis quelques minutes maintenant. Quelques coups de plus et je salirais tout et je ne voulais pas que mon sperme se retrouve ailleurs que dans Jane.
Je ne pouvais pas m’en empêcher, putain. Où que je regarde dans la classe, je ne pouvais songer qu’à ce que j’allais lui faire.
Quelqu’un frappa doucement à la porte.
« Entrez, » dis-je.
La porte s’ouvrit et Jane entra.
Dehors, le soleil de l’été était haut dans le ciel et ses joues étaient rouges de chaleur. Bien que je ne puisse m’empêcher de remarquer qu’elles devinrent plus rouges encore quand elle rencontra mon regard. Son regard était hésitant et anticipateur à la fois. Elle savait ce qui allait se passer, mais en même temps, elle ne saurait pas quoi faire.
Je souris à cette pensée. Je lui apprendrai absolument tout de ce qu’elle devait savoir et je prendrai mon temps. Plus longue est l’attente, plus doux est le fruit et cette expression s’accordait parfaitement à Jane.
Elle demeurait figée sur place, à attendre que je lui dise quoi faire. Oui, je serais de nouveau son professeur. J’étais tombé amoureux d’elle au cours de l’année dernière, à écouter ses blagues avec ses amies, à tendre l’oreille quand elle riait. Elle n’était jamais cruelle avec ses camarades ou méchante avec les autres étudiantes. Elle avait de l’élégance, elle était belle et extrêmement intelligente, et elle était seule. Je pouvais reconnaître l’air dans ses yeux, le besoin d’appartenance.
Elle était à moi, elle ne le savait simplement pas encore.
« Ferme la porte, Jane. A clé. »
Chapitre Trois
Jane
Je fis ce qu’il m’avait dit. Je fermai la porte, poussai le verrou et chaque seconde qui passait me faisait me sentir à la fois plus nerveuse et plus excitée. C’était aujourd’hui, aujourd’hui que M. Parker allait prendre ma virginité. Rien que de penser à lui je me sentais mouillée et je pressai mes cuisses ensemble lorsque je sentis mes murs intérieurs se contracter d’anticipation. J’avais fantasmé sur lui tellement de fois. Depuis le premier jour qu’il était entré dans cette classe et qu’il s’était présenté comme notre prof, tout ce que j’avais voulu, c’était qu’il me prenne.
Lorsque j’entendis le cliquetis du verrou dans la porte, je retins mon souffle et attendis qu’il me donne ses prochaines instructions. Il avait collé du papier de bricolage rouge sur la grande fenêtre rectangulaire de la porte. Sa classe était au premier étage. En-dessous de nous, sur le terrain de foot, des parents et d’anciennes camarades de classe s’affairaient à prendre des photos, à faire des câlins à leurs grands-mères