Le pacte des vierges. Jessa James

Le pacte des vierges - Jessa James


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doigt passa le long de mes replis trempés et commença à faire des cercles autour de mon clitoris. Il commença doucement au début et les sensations s’accumulèrent en moi, jusqu’à ce qu’il accélère son rythme. « Pitié, doigtez-moi, » gémis-je et suppliai-je. « Je vous en prie, monsieur. » Je le voulais en moi.

      « Patience, Jane, » dit-il, sans arrêter les mouvements de son doigt. « De grandes choses arrivent à qui sait attendre. Laisse-moi m’en occuper. »

      Je fermai les yeux et acquiesçai. Il se pencha en avant, son torse contre mon dos. Nous étions désormais tous les deux penchés sur le bureau. « Avant même que tu t’en rendes compte, ma bite sera en toi, dedans, dehors, et je pourrais tout ressentir de toi. Mais te doigter ? Quelle idée cochonne. La première chose que tu sentiras dans ta chatte vierge sera ma bite. » Pour affirmer son point de vue, il frotta son pantalon contre mon cul tendre tandis que son doigt continuait à satisfaire mon clitoris.

      Mes gémissements s’intensifièrent et il continua à se frotter contre moi. Je pouvais sentir l’accumulation de plaisir en moi, comme si quelque chose de fantastique allait arriver.

      Je ne cessais de dire « encore » avec mes lèvres, et il ne s’arrêta pas une seule fois de bouger son doigt. Mon clitoris était gonflé et sensible sous ses attentions et ma chatte se sentait seule. Je n’avais jamais ressenti ça quand je m’étais caressée. J’en voulais davantage.

      « Baisez-moi, pitié, » suppliai-je, lorsque les sensations devinrent trop insoutenables pour une vierge comme moi.

      « Qu’est-ce que j’ai dit sur la patience, Jane ? » demanda-t-il. Sa main libre s’abattit sur mon cul et la sensation de picotement se mêla à mon désir. Il avait l’air à la fois sérieux et aguicheur. « Je m’occupe de tout. C’est bien ma classe, non, Jane ? »

      Je hochai la tête.

      « - Est-ce que c’est toi, le professeur ?

      - Non. » Je ne saurais pas quoi faire, et encore moins guider quelqu’un. Bien joué, Jane. Je me réprimandai intérieurement.

      « C’est bien ce que je pensais. » Il passa une main le long de l’arrière de ma cuisse dénudée et me fit frissonner.

      «- Parce que c’est moi, ton professeur.

      - Oui, monsieur. » La réponse vint sur mes lèvres naturellement.

      On allait baiser ensemble – il fallait simplement que j’attende. On y arriverait, mais je le voulais maintenant. La chaleur de ma chatte était insoutenable et j’avais l’impression que j’allais devenir dingue.

      « Bien, » dit-il en continuant à frotter ses doigts contre moi. Il se pencha en avant de sorte que je vois son visage. « Est-ce que tu es sûre de vouloir ça, Jane ? Que je te prenne ta virginité ? Une fois qu’on aura commencé, impossible de faire machine arrière. Tu seras à moi. »

       À moi.

      Je hochai la tête contre le bureau. « Oui. » Je répétai ma réponse, mais plus fort cette fois.

      « - Oui, monsieur.

      - Parfait. Est-ce que tu prends un contraceptif ? »

      Il s’arrêta net quand je secouai la tête. « Non. J’ai amené un préservatif. »

      Il me fessa de nouveau. « Tu es à moi, Jane. Et je veux te prendre sans rien. Je veux tout ressentir de toi lorsque j’enfoncerai ma bite jusqu’à mes boules en toi. »

      Je gémis à l’idée de sa bite me pénétrant, peau contre peau, brisant cette fine barrière. Mais j’avais aussi peur. Je n’étais pas prête pour un bébé. Je n’étais pas prête à ça.

      Son doigt passa sur l’entrée de ma chatte et fit des cercles autour.

      « - On ne baisera pas aujourd’hui. Et on ne baisera pas avec un préservatif. Jamais. Je ne veux rien entre nous deux, affirma-t-il. Demain, tu iras chez le docteur pour qu’elle te fasse la piqûre.

      - Oui, monsieur. » La surprise m’envahit, mêlée à du soulagement. On s’arrêtait là ? Est-ce que c’était un genre de préliminaires ? Un test ? Quoi ?

      Il retira son doigt et recula. J’attendis un moment, puis me relevai du bureau. Lorsque je me retournai pour lui faire face, son regard tomba sur le creux de mes genoux, et je fis rapidement retomber ma jupe avant de tirer sur ma culotte pour la remettre.

      « Enlève-la. »

      Je relevai les yeux alors même que je la remontais, déglutis et changeai de direction. Je l’enlevai d’un pied, de l’autre, avant de la remettre dans la main qu’il tendait vers moi.

      J’avais mal, j’avais besoin de lui et j’étais surexcitée lorsqu’il la fourra dans la poche de son pantalon. Mon cul me faisait mal de ma punition. Je me sentais… châtiée, et j’avais définitivement appris une bonne leçon. M. Parker n’allait jamais me laisser m’en sortir comme ça. J’avais aussi appris que de ne pas jouir était plus embêtant qu’une fessée.

      Il y avait un peu de déception, en moi. Alors, on allait pas baiser aujourd’hui ? Est-ce qu’il m’en voulait d’être venue sans être préparée, de lui avoir dit qu’on utiliserait un préservatif ?

      Mais toutes mes insécurités et mes questions s’envolèrent lorsqu’il me dit « Il y a d’autres moyens de se faire plaisir pour le moment… tellement, tellement d’autres moyens. »

      Le sourire narquois et sexy qu’il me décocha m’excita tout autant qu’il me troubla.

      Il fit le tour du bureau, tira sa chaise et s’assit.

      « Je vais commencer par prendre la virginité de ta bouche, jeune fille. »

      Je fis le tour du bureau pour le rejoindre et il défit la boucle de sa ceinture du bout du doigt. Lorsque je me tins entre ses genoux écartés – il me faisait face et le bureau se trouvait derrière moi – la paume de sa main prit ma joue en coupe de nouveau et je ne pus m’empêcher de me blottir plus proche de lui encore. Sa main était chaude et rugueuse, les mains d’un homme et je me sentais protégée.

      Une grande partie de moi était nerveuse à l’idée ce qui allait arriver. J’avais vu suffisamment de films pornos pour savoir qu’il allait remplir et baiser ma bouche.

      Lentement, je me mis à genoux devant lui.

      « J’ai rêvé de te voir là, comme ça. Déboutonne mon pantalon. »

      Je fis ce qu’il m’avait ordonné et il continua à parler.

      « Je t’ai imaginée sous mon bureau, ta bouche sur moi, à sucer le sperme de mes boules. »

      Je gémis à l’idée de lui faire ça pendant que les autres filles seraient assises à leur table pour leurs examens. Moi, je n’aurais pas d’examen écrit. Mes notes viendraient d’un examen oral.

      Il y avait un sourire sur son visage – un mélange de joie et de taquinerie – mais ses yeux me regardaient tendrement. Je n’avais pas besoin de m’inquiéter ou de trop réfléchir. Rien qu’avec l’air dont il me regardait, je savais qu’aucun mal ne me serait fait.

      Hésitantes, mes mains commencèrent à déboutonner la braguette de son pantalon tandis que mes yeux restaient fixés sur la bosse dur qui s’y trouvait. Il ne portait rien en-dessous.

      « Jane... » Le son de mon nom me ramena à la réalité. « Tout va bien ? »

      Je clignai des yeux, une fois, puis deux, puis relevai le regard sur l’homme devant moi pour le regarder à travers mes cils. Ma chatte pulsait. Je voulais – j’avais besoin – d’en ressentir plus, mais nous ne baiserions pas aujourd’hui. Je n’arrivais pas à croire que j’avais pu penser qu’on pourrait coucher ensemble avec des préservatifs. Il était bien plus expérimenté que ce que je n’aurais pu l’imaginer


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