Ses Guerriers Cyborg. Grace Goodwin

Ses Guerriers Cyborg - Grace Goodwin


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caresses, j’avais le diable au corps.

      —Oui, je gémis en sentant un doigt me pénétrer, filer droit sur mon point G. Mes yeux étaient fermés, à moins que le rêve m’empêche de voir. Peu importait qu’ils soient réels ou pas. C'était trop bon pour s’en priver. Envolée la bande de guerriers bouche bée qui me gâchaient le plaisir.

      —Regarde sa chatte béante, dit l’homme qui me tenait sur l'autre, écoutait visiblement le mouvement de succion et de va-et-vient de ses doigts dans mon vagin.

      —Comme prévu.

      Le deuxième homme, celui duquel je m’étais levée, acquiesça sur le champ. Je me fichais qu'il me regarde me contorsionner nue sur les genoux d’un autre. Que la main d’un autre se retrouve entre mes cuisses grandes ouvertes.

      L'homme derrière moi me masturbait à l'aide de son doigt, impossible d’oublier le bruit humide de mon excitation. Il écarta ses genoux, ce qui eut pour effet d’écarter mes cuisses encore plus grand. Je réalisai à quel point j'étais petite—ou combien il était grand—lorsque d'un geste je glissai sur son corps. Sa bite dure et épaisse se pressait dans mon dos. Il ne fit rien, continua simplement à me besogner.

      J'étais sur le point de jouir, rien qu’avec ses mains. Un gémissement se fit entendre, cette femme savait que ce n’était pas impossible. Pourquoi étais-je d'accord ? Cela n'avait aucun sens. Je luttais, corps et âme.

      Il écarta sa main, asséna une claque humide et cuisante sur ma chatte.

      Je criai et frémis sous la brûlure torride. Mon clitoris en feu entra douloureusement en érection à son contact. Je me cambrai et poussai un gémissement alors que la brûlure de la fessée se muait en une chaleur exquise.

      Putain de merde, c'était bandant. Comment ? Je sentais tout. La fessée cuisante et sensuelle, la façon dont mon corps encaissait le choc, adorait ça. J'en avais besoin.

      —Ne pense à rien ma belle, à rien hormis mes caresses.

      Il caressa ma peau tendre avant d’introduire son doigt en moi. J'étais vachement plus humide qu'avant, sa main était couverte de ma mouille toute chaude.

      —Ton esprit ne pense à rien, il ressent uniquement. Tu es belle quand tu succombes au plaisir, avec nous pour témoins. Quand nous te donnons du plaisir.

      Oh. C'était logique. Il ne prenait rien. Il donnait. À moins que je ne veuille vraiment, vraiment plus penser à rien. Je ne faisais que penser, encore penser, toujours penser dans cette foutue cellule de prison. J'étais épuisée de combattre contre tout l’univers. D’affronter ma peur. D’affronter tout et tout le monde en même temps.

      J'arrêtai de lutter contre le désir du corps de cette femme qui laissa échapper un doux gémissement. Elle était comme moi, fatiguée de penser. Elle se savait en sécurité avec ses partenaires si elle se laissait aller. Elle le savait avec une certitude jamais connue auparavant—c'est ce que je voulais. Vraiment.

      Je sursautai en sentant ses mains sur mes cuisses écartées.

      —Chut, répondit l'autre. Il me touchait lui aussi, entre mes jambes écartées. Je sentis son souffle puis sa langue alors qu'il léchait mon désir sur ma peau. Oh merde.

      Deux à la fois ? J'allais vraiment faire ça ? Elle allait le faire ? Pas moi. N'est-ce pas ? Pas moi.

      Je n'avais jamais été caressée par deux hommes en même temps. Je n'avais jamais imaginé que j'aimerais ça. Mais putain, j’avais envie d’eux. J’aurais voulu que ça dure éternellement.

      La main qui masturbait ma chatte s'écarta, je sentis l’air frais sur ma peau échauffée.

      Quelque chose de dur s’immisça dans les replis de ma vulve, me pénétra avant de ressortir plus bas vers mon…

      —Oh !

      Un plug anal, qu’il enduisait de ma mouille. Je criai alors qu’il enfonçait l'objet dans mes fesses. Il me dilata, avant de le glisser très facilement, parfaitement lubrifié, avant que je puisse m’y opposer. On ne m’avait jamais rien mis à cet endroit, sauf dans la première partie du rêve. Pas dans la vraie vie. Je ne devrais pas aimer ça, mais maintenant... je ne voulais pas qu'il le retire. C'était trop bon. Oh mon Dieu, j'avais quelque chose dans le cul et j’adorais ça.

      Elle adorait ça. Ce corps excité au possible rêvait de ressentir la suite.

      —C’est bien ma belle, dit celui entre mes cuisses. Tu te dilates à ma perfection, nous apprécions ta réactivité. On va bientôt te baiser ensemble. Tu te languis de sentir deux sexes en toi, n'est-ce pas, ma belle ?

      —Oui, je gémis tandis qu’une langue léchait mon clitoris.

      Mes hanches se mirent à onduler de leur propre chef, l'incitant à continuer.

      Il ne me déçut pas. Impossible de décrire ce qu'il me faisait. Sa bouche, sa langue et ses doigts étaient sur moi, en moi, me poussaient à l'orgasme avec une habileté impitoyable. Une langue qui virevoltait et léchait, une bouche qui suçait et embrassait, des doigts qui baisaient et caressaient. Pendant que mon anus se faisait dilater et pénétrer.

      Je haletais. Je gémissais. J’étais en nage, excitée au possible.

      —Je vais jouir, m’écriai-je. Oh mon Dieu, c’est trop bon.

      La bouche s’écarta sur le champ, je tendis la main pour attraper sa tête et faire en sorte qu’il continue.

      —Non, ma belle. On pinçait mes tétons en même temps. Pas fort, mais suffisamment pour faire en sorte que je me concentre et reste excitée.

      On me souleva et m’écarta de la source de chaleur dans mon dos, tout en demeurant sur les cuisses écartées du premier homme. Je le sentis dégrafer son pantalon dans mon dos, avant qu’on me soulève à nouveau, qu’on m’attire contre son corps musclé. Je sentis l’énorme protubérance de son sexe devant mon vagin, tandis que l’homme devant moi titillait mon clitoris et utilisait ses doigts afin d’écarter les lèvres de ma chatte et ménager un passage pour sa méga-bite.

      Oh, je voulais le sentir en moi. Je savais qu'elle serait grosse, plus grosse que tout ce que j'avais connu auparavant. Et avec le plug...

      —Oh mon Dieu, je poussai un gémissement alors qu'il m’empalait lentement.

      Mes pieds ne touchaient plus le sol, j'étais entièrement à sa merci. Il ne me pénétrait pas, me dilatait centimètre par centimètre. Je me tortillais et bougeais afin de l’accueillir un peu plus à chaque fois.

      Ses mains posées sur ma taille commencèrent à me soulever et m'abaisser, lentement, pour que j'aie le temps de m'adapter à un membre aussi gros.

      Enfin, assise sur ses cuisses, j'étais si pleine que j'eus du mal à reprendre ma respiration.

      —Penche-toi en avant, dit la voix derrière moi.

      Je posai mes mains sur ses genoux à tâtons, et agrippai le tissu rugueux. Il avait dû ouvrir son pantalon juste assez pour sortir sa bite. Et me pénétrer. Il s’enfonça un peu plus profondément dans cette position, je poussai un gémissement.

      —Ouvre, dit le second en prenant ma joue dans sa main, son pouce effleura mes lèvres, indiquant exactement ce qu'il attendait de moi. Sa main douce caressait ma peau de façon apaisante, en totale contradiction avec son ton impérieux.

      J’obéis à ses ordres et ouvris la bouche, tandis qu'il me guidait. Pourquoi le laisser faire ? C'était de la folie. Faire l'amour avec un mec était une chose, mais recevoir l'ordre de faire une fellation à un autre en même temps ? Pourquoi ça m'excitait ? Pourquoi voulais-je lui faire plaisir ? Depuis quand me faisais-je un devoir de contenter un homme ?

      Mais je me sentais bien. De plus, j'avais envie de faire ce qu'il me demandait, sa bite profondément en moi. Je voulais lui faire tout oublier. J'avais envie qu'ils se sentent tous deux aussi


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