Choisie par le mâle Alpha Coffret. Kayla Gabriel
d’elle, Lucas repoussa gentiment le bras de son visage et l’embrassa. Ses yeux étaient brillants de plaisir et ses joues colorées d’un beau rose. Elle se redressa à demi, se débarrassa totalement de son soutien-gorge et le jeta par terre.
« Alors ? Comment se passe ta période d’essai, jusque-là ? » demanda-t-il d’un ton neutre.
Aurélia rougit encore un peu plus.
« Eh bien, euh, c’est super. Mais…, toujours un peu essoufflée, elle laissa sa phrase en suspens.
— Mais ? demanda-t-il incrédule, en arquant un sourcil.
— Ce n’est pas un essai, dit-elle. J’avais déjà signé les papiers, avant même de descendre te rejoindre. »
Une vague de chaleur le submergea et il s’allongea pour l’embrasser à nouveau. Elle répondit instantanément, elle n’était pas encore rassasiée. Il sourit contre sa bouche, savourant son désir.
Sa main atteignit ses hanches et elle tira sur la ceinture de son pantalon.
« Enlève ça, ordonna-t-elle.
— Oui maîtresse, » dit-il d’un ton taquin en enlevant son pantalon et en le jetant au bas du lit.
Aurélia le regarda en levant un sourcil.
« Tu n’as rien dessous ? demanda-t-elle.
— Jamais, » répondit-il avec un sourire coquin.
Elle toucha ses hanches encore une fois, admirant sa nudité. Ses doigts caressèrent l’intérieur de ses cuisses et il se contracta.
« Elle est si grosse, » dit-elle en lui caressant le gland du pouce. Il jura alors qu’une grosse goûte de liquide pré séminal se mettait à couler, attestant de son désir intense de la pénétrer.
« Aurélia, la prévint-il, ne me cherche pas. Je t’ai attendue bien trop longtemps. »
Ses doigts s’enroulèrent autour de sa queue et il ferma les yeux. Le plaisir qu’il tira de ce simple contact était tellement intense qu’il aurait pu jouir dans ses mains.
Il lui attrapa les poignets et l’arrêta.
« Laisse-moi te baiser, tout de suite, » lui dit-il en la regardant dans les yeux. Il ne suppliait jamais personne, merde, mais là il avait vraiment besoin de posséder cette femelle.
« Oui, » murmura-t-elle, l’attirant sur elle.
Lucas se positionna entre ses cuisses, frottant sa queue contre son clitoris et pressant son gland sur l’entrée de son vagin.
« Maintenant ! cria Aurélia et d’un coup, Lucas s’enfonça profondément en elle.
— Oh putain ! » cria-t-il. Si chaude et si mouillée, il la sentait s’élargir pour s’adapter à lui.
Il se retira, replongea, se retira.
« Je suis désolé, je ne peux plus attendre, » murmura-t-il, la voix cassée.
Aurélia le gratifia d’un sourire satisfait et commença à onduler les hanches sous lui, donnant le rythme. Il s’accrocha à ses hanches et commença à la pilonner, serrant les dents pour maîtriser le plaisir qui menaçait de lui faire perdre le contrôle. Ses gémissements sexy le rendirent fou, tout autant que la façon dont ses seins tressautaient à chaque coup de boutoir.
« Aurélia, » dit-il, jurant, alors qu’il la sentait se contracter autour de son sexe. Elle avait les yeux fermés, le visage tendu et elle haletait en accompagnant chacune de ses poussées, le baisant elle aussi, autant qu’il la baisait.
Soudain elle se tendit, palpita, puis cria de plaisir.
Sa jouissance fit perdre le peu de contrôle qui restait à Lucas et à son tour, il cria son nom. La pénétrant de toutes ses forces, il déchargea de longues giclées de sperme en elle. Encore et encore, jusqu’à ce qu’il ait l’impression qu’il allait perdre connaissance.
Retombant sur le lit, il attira Aurélia à ses côtés et resta allongé, essoufflé. Elle se blottit contre lui et quelques instants plus tard il l’entendit pleurer doucement.
Il se redressa et lui jeta un regard étonné.
« Que se passe-t-il ? Je t’ai fait mal ? demanda-t-il, sentant la colère monter en lui, son loup dressa les oreilles, se demandant quel était le danger.
— Non, répondit-elle. Non, je veux dire, tu ne m’as pas… »
Elle laissa sa phrase en suspend pour renifler et secoua la tête.
« Dis-moi ! dit-il, commençant à se redresser.
— Non, c’est rien, c’est juste que je me sens vraiment bien, dit-elle.
— Mais tu pleures, répondit-il, les sourcils froncés.
— c’est pas ça… je viens seulement de réaliser que je ne m’étais pas sentie en sécurité depuis tellement longtemps, dit-elle.
— Oh, » dit-il, ses sourcils se fronçant un peu plus. Ce n’était certainement pas ce qu’il avait envie d’entendre.
« Je veux dire, que je me sens en sécurité, là, maintenant.
— Oh, répéta-t-il. Je vois. Tu peux, nous allons bien prendre soin de toi ici, Aurélia. »
Elle lui sourit et il revit un instant, la douce étudiante qu’elle avait un jour été et qu’il avait pu découvrir à travers les photos de son dossier.
Lucas pensa qu’elle était encore plus incroyable en personne.
« Merci, » murmura Aurélia en se blottissant contre lui.
Lucas lui embrassa le front et sourit.
Contrat ou pas, il sentait que c’était la bonne chose à faire. Et ils finirent par s’endormir, dans les bras l’un de l’autre, plus apaisés que jamais.
Prise par la meute
Copyright © 2020 par Kayla Gabriel
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Publié par Kayla Gabriel
Prise par la meute
Crédit pour les Images/Photo : Noircir; Deposit Photos: w10er, dsom
Note de l’éditeur :
Ce livre a été écrit pour un public adulte. Ce livre peut contenir des scènes de sexe explicite. Les activités sexuelles inclues dans ce livre sont strictement des fantaisies destinées à des adultes et toute activité ou risque pris par les personnages fictifs dans cette histoire ne sont ni approuvés ni encouragés par l’auteur ou l’éditeur.
1
Rien n’est aussi bon qu’un long bain bien chaud après plusieurs jours de marathon sexuel.
Aurélia Gilson étendit ses longues jambes et bailla, s’enfonçant encore un peu plus dans l’eau de son bain parfumée au lilas. Des volutes de vapeur s’élevaient de la surface de l’eau et des pétales de fleurs dansèrent autour de ses épaules et de ses genoux quand elle s’immergea plus profondément dans la grande baignoire sur pieds. Elle bougea les orteils et soupira d’aise, savourant les effets régénérants de son bain.
Penchant